Alessandro Finelli | Agent Honey Buns

Identité :

Nom : Finelli
Prénom(s) : Alessandro Silvio
Surnom(s)*: Paco seulement par son frère ainé, Spankie par ses amis, et Agent Honey Buns ou Honey Buns seulement, par ses collègues.
Âge : 23 ans
Date de naissance : Le 02 mai. Il est né sous le signe du taureau.
Lieu de naissance : Topeka, Kansas.
Nationalité : Américaine et Italienne
Occupation : Agent du FBI & Chasseur


Psychologie :

Plus grande qualité : La plus grande qualité de ce jeune homme serait sans doute son sens de la loyauté. En effet, il connaît ces priorités et fera toujours passer sa famille et ces amis avant tout autre chose. Il est prêt à tout pour ceux qu’il aime, et ceux en qu’il a confiance. Il pourrait sacrifier tout ce qu’il a s’il le fallait. Mais, n’étant pas non plus naïf et candide, il sait quand il se fait rouler, et à quel moment, il doit dire stop. Il aime rendre service, ne demande jamais rien en échange aimant se débrouiller seul, mais, néanmoins, il aspire à un minimum de respect et de loyauté mutuelle. Il n’est pas la bonne poire à qui on peut tout demander. Quand même pas !
Plus grand défaut : Son coté têtu d’où le surnom _Monsieur-j’ai-toujours-raison_ est l’un de ces plus grands défauts. Se prenant trop au sérieux quelques fois, il n’accepte pas l’idée d’avoir tort, et parierai à chaque fois, tout ce qu’il, sur l’avis qu’il vient de donner. Il ne démordra jamais de ces convictions, et ira toujours jusqu’au bout de ces pensées. Il faut beaucoup de courage et de ténacité pour lui faire avouer que sur ce point, il a eu tort. Il ne doit y avoir que très peu de personnes qui ont réussi à le faire changer d’opinion. Il pourrait les compter sur les doigts de la main.
Manies : Les manies d’Alessandro, aussi nombreuses soient-elles, sont souvent très agaçante pour l’entourage du jeune homme. En effet celui-ci à la fâcheuse manie, de n’en faire qu’à sa tête, de réfléchir après avoir agit, de foncer tête baisser n’importe où, de mentir pour arriver à ces fins, mais aussi de cacher ces sentiments pour ne pas être vulnérable. Néanmoins, il possède certaines manies plus « agréables », comme celle de trouver de l’humour en n’importe quelles situations, ou celle de toujours avoir faim. Etant un humain comme beaucoup d’autres, il lui arrive de passer sa main dans ces cheveux lorsqu’il se sent gêné, ou encore rire pour se défaire de certaines questions.
Phobie :Sa plus grande peur, aussi étrange soit-elle, est celle d’être enfermée dans un ascenseur. En effet, depuis un malheureux incident lorsqu’il était enfant, le jeune homme a une phobie anormale des ascenseurs. Il n’est jamais remonté dans l’une de ces choses depuis.

***

Première chose qu'il fait le matin : Il faut savoir que l’Agent Finelli n’a pas d’horaires fixes pour se réveiller. Il est souvent mis au courant de l’heure lorsque son cellulaire sonne pour le prévenir d’une nouvelle affaire à traiter. Alors, lorsqu’il doit se dépêcher, il descend au en bas de son appartement, fait trois pas, pousse la porte d’un café et demande un café avec trois sucres et une noisette de lait. Rituel matinal.
Ce qu'il/elle fait à la pause déjeuner :Accro à la nourriture autant qu’au café, Alessandro ne rate jamais une occasion de déjeuner. Pendant un temps, il a même pensé devenir Cuisiner au lieu d’agent du FBI. Et il aurait pu. Cet homme est un vrai cordon bleu. Tous les plats qu’il entreprend sont de véritables délices. Il a un talent certain pour la cuisine. Alors pourquoi n’est-il pas devenu le plus grand cuisinier de Salvation ? Apparemment, il n’aurait jamais respecté les commandes qu’ils recevaient, et agrémentaient tout à sa façon. Un certain problème d’autorité qui le poursuit même au FBI, mais il trouve toujours le moyen de s’en sortir.
Sa soirée type :S’il n’est pas en train de chasser ou d’enquêter avec son équipe, Alessandro passe ces soirées dans un bar, accompagné ou seul. Il n’est pas du genre à draguer tout ce qui bouge, mais il lui arrive de repartir accompagner. N’étant pas le genre de gars à s’esquiver en plein milieu de la nuit, il lui arrive de revoir ces conquêtes sauf cas étrange.

Double fond de son tiroir à caleçons : Comme tout homme qui se respecte, vous y trouverez des caleçons Mais, si vous soulevez le fond de ce tiroir, vous y trouverez un paquet de feuilles, écrites de chaque côtés, comportant divers signes et numéro inscrit dans tous les sens. Evidemment, il vous sera impossible d’en deviner le sens tant ces inscriptions se mélangent entre-elles.
Contenu de son coffre : Ouvrez le coffre de la voiture. Soulevez un tapis. Enlevez la roue de secours. Soulevez un nouveau tapis. Observez. Après ce long et pénible périple vous découvrirez tout ce dont Alessandro a besoin. Mais seulement en tant qu’Agent du FBI. En effet, pour ne pas se retrouver avec une fiole d’eau bénite à la main alors qu’il poursuit un meurtrier, le jeune Finelli a mis en place un ingénieux système. Ces armes dont il a besoin pour chasser le surnaturel se trouve ailleurs, mais pas si loin que ça. Il vous suffirait de baisser le siège de la banquette arrière, et de soulevez l’autre pour découvrir tout l’attirail nécessaire à ces chasses. Il n’est pas au FBI pour rien.
Objets Cachés sous son oreiller : Pour ne pas se couper lorsqu’il est en train de dormir , Alessandro ne possède sous son oreille qu’un revolver muni de balle en argent. En effet, il serait bien capable de se couper, s’il gardait un couteau au-dessous de son oreiller. Le revolver, c’est plus sûr.
Contenu de son armoire à pharmacie :Avec les deux jobs qu’il mène de front, il est nécessaire qu’Alessandro est une armoire à pharmacie remplie. Et, anxieux de ne pas trouver le médicament qu’il recherche, il a organisé son armoire à pharmacie en différentes catégories.


Goûts :

Couleur préférée : Le Noir.
Plat préféré : Les Sushis.
Chansons préférées : Back In Black de ACDC, Knocking on heaven's door de Bob Dylan et Carry On My Wayward Son de Kansas, et Keep on Trying de Poco.
Livre préféré : Salem, de Stephen King.
Film préférés : Alessandro est un grand fan de la série Magnum depuis de longues années, mais aussi de l'acteur John Wayne avec ces films : El Dorado, Le jour le plus long, Alamo.

Déclic : Il n’y a jamais vraiment eu de déclic dans la vie d’Alessandro. Son père était un chasseur, sa mère une exorciste, le jeune garçon a donc toujours vécu dans cet univers. Néanmoins, lorsqu’il eut atteint sa septième année, Alessandro prit conscience du lourd poids reposant sur les épaules de sa famille. Alors qu’il rentrait après sa journée de travail, Vincenzo entama une discussion houleuse avec Maëva, sa femme. Anthony, de deux ans son aîné, emmena Alessandro plus loin. Lui, semblait déjà au courant. Deux heures plus tard, les valises étaient faîtes, et les trois hommes de la maison déménageaient de Topeka, leur lieu de résidence pour Salvation. Quel fut le contenu de cette discussion ? Alessandro ne le sut jamais. Son frère ne lui dit jamais rien. Son père de même. Le jeune enfant n’entendit plus jamais parler de sa mère. Mais, à partir de ce jour, il resta de plus en plus souvent seul avec son frère ainé, qui lui apprit tout de la vie que menait la famille Finelli depuis des générations.



Apparence :

Allure générale : Alessandro. Son nom suffirait à vous couper le souffle. Mais comme si cela ne suffisait pas, le jeune homme fut doté d’un corps à en faire pâlir plus d’un. Pas loin des un mètre quatre-vingt, le jeune américo’italien attire d’un simple sourire, tous les regards. Il lui suffirait d’un regard du coin de l’œil pour vous faire rougir. Et il le sait. Une démarche assurée, un regard séducteur, un sourire mystérieux mais très significatif, de belles paroles et le tour est joué. Un front délicat sur lequel retombe quelques mèches de cheveux, précède un regard vert de mer, magnétique et empli de sagacité. Loin d’être le genre d’homme méchant, son emploi a tout de même développé en lui une forte capacité à mentir verbalement mais aussi physiquement. Ayant été formé en tant que profiler tout d’abord, il connait le langage du corps, et sait comment appuyer un mensonge. Il est donc difficile de le cerner, mais n’allez pas croire qu’il effraie, bien au contraire. Ce visage au teint délicat et légèrement halé, cette bouche appétissante et dessiné à la perfection vous ferez perdre tout contrôle. N’est-ce pas si déstabilisant de savoir qu’un homme peut avoir tant de pouvoir sur vous. Mais peut-être ferez-vous partis de celles qui résistent ? De celle qui tiennent tête. Ou simplement de celle avec lesquelles Alessandro est le plus grand gentleman et pour lesquelles il a, un profond respect.
Style vestimentaire : L’armoire à vêtements d’Alessandro est un mélange intriguant d’originalité et de banalité. En effet, de provenance italienne et américaine, ces affaires peuvent paraître totalement affolantes pour certains, très classes pour d’autres ou bien sans intérêts. Il faut savoir que la mode entre ces deux régions est très disparate. Il a donc trouvé le moyen sûr de séparer sa penderie en deux parties : La partie Américaine, la partie Italienne. Vous trouverez votre bonheur de chacun de ces côtés. Il y est recensé pas mal de vêtements colorés, tout autant que des vêtements plus sobre. Et pour ceux que cela intéresse, vous y trouverez aussi son costume de travail. Vous savez ce fameux costume noir et blanc, spécifiques aux agents comme lui.


Autres : - Sa pizza préférée est celle aux pepperonis et saucisses avec un oeuf dessus.
- Alessandro est un grand connaisseur et amateur de voiture, une passion qu'il tient de son père Vincenzo Finelli. Il possède d'ailleurs une Mustang de 1966.
- Il aimerait pouvoir porter des costumes italiens -Ermenegildo Zegna, Armani, Dolce & Gabbana, Gucci, Salvatore Ferragamo- durant ses heures de travail, mais son patron l'en empêche toujours.
- Il prend son café avec trois sucre et une noisette de lait.
- Il ne déjeune qu'avec des céréales.
- Il n'a jamais réussi à manger avec des baguettes chinoises.
- Il n'apprécie guère la fumée de cigarette.
- Il ne se pèse jamais.
- Lorsqu'il épelle son nom, il dit toujours 'F majuscule; 'inelli minuscule.
- Il a pris des leçons de piano lorsqu'il était plus jeune mais lorsque sa professeur lui frappa les doigts avec une règle en bois après une fausse note, il jura qu'il ne retoucherait plus jamais un instrument de musique de sa vie. Promesse jusque là tenue.
- Il a la phobie des ascenseurs.

Avatar : Chace Crawford

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Comment avez vous connu le forum ? Source impossible à révéler

Oh un zhomme
Bienvenue bel inconnu *comment je joue trop bien le jeu*
Je réserve le vava

bienvenue toi qu'on connait pas
Un autre copain n'a moi de Gossip *d'ailleurs si tu veux un lien c'est avec plaisir mon Poney *

HAAAAAAAAAAAAAAAA.... c'est Chace... *devient complètement dingue...* hehe

Bienvenue...

Hye
Allez je me motive pour la faire ce soir comme j'ai du temps.

Oh beau gosse

Bienvenue Topine de PC ?

Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Histoire :

Parents : Maeva Jersey, était une jeune femme de 22 ans, cherchant à devenir quelqu’un de reconnu. Comme beaucoup d‘autres jeunes Américaines, elle voulait devenir la nouvelle Julia Roberts et épouser le sosie de Johnny Depp. Bien évidemment, elle savait parfaitement que ce n’était pas en restant à Topeka, le chef lieu du Kansas, sa ville natale, qu’elle se ferait remarquée par un agent. Son rêve était de partir pour Los Angeles, mais alors que certaines ne peuvent par problèmes d’argent, d’autres par manque de courage, Maeva, elle, ne pouvait, par obligations familiales. En effet, depuis de longues années, les Jersey étaient une famille d’exorcistes et de chasseurs. Dès l’âge de 10 ans, les parents devaient enseigner à leurs enfants, les bases de l’exorcisme et de la chasse. Si l’enfant était une fille elle devait être chasseuse, s’il était un garçon, il serait chasseur. Et ceux depuis des décennies. Et Maeva, comme ses deux autres sœurs, était devenue une exorciste. Accompagné de son frère Isaac, chasseur, elle parcourait l’Amérique de villes en villes, résolvant de nombreux cas. Pourtant, elle n’aspirait qu’à une chose depuis le début : Vivre autrement. Mais elle se gardait bien de le dire, sachant que son frère et ses sœurs ne comprendraient jamais cet objectif.

Vincenzo Finelli, un jeune homme de 25 ans, au contraire de Maeva savait parfaitement depuis le début, le genre de vie qu’il voulait. Il voulait profiter de chaque instant, n’avoir aucune obligations de n’importe quelles sortes. Il ne voulait aucune contrainte. Il avait d’ailleurs arrêté ces études à l’âge de 16 ans. Il ne voulait pas devenir quelqu’un de reconnu, d’admiré. Non. Il voulait, perpétuer la tradition de sa famille. Celle de Finelli. Chasser. Il était connu que dans cette famille, tous les garçons dès qu’ils eurent atteint l’âge de 10 ans, étaient formé pour devenir des chasseurs, doués. Et cette vie convenait parfaitement à Vincenzo. Il ne voulait pas se stopper, rencontrer une fille sympa, l’aimer, se marier puis avoir des enfants et s’en occuper durant le reste de sa vie. Loin de là. Il n’arrivait d’ailleurs pas à comprendre comment certains chasseurs arrêtaient d’être chasseurs pour fonder une famille. Ils comprenaient beaucoup plus ceux qui changeaient de filles tous les soirs et qui ne s’occupaient plus des précédents. Il était l’un de ces gars machos, menteurs et manipulateurs.

Rien ne les destinait. Et pourtant.

Lorsque, quelques années plus tard, vous vous attardez sur le cas de Vincenzo, vous découvrirez qu’il a beaucoup changé. En effet, alors qu’il rodait autour d’un champ étrange où plusieurs accidents inexpliqués avaient eu lieu, Vincenzo vint à rencontrer une jeune exorciste qui n’avait pas sa langue dans sa poche, et qui, lorsqu’il lui fit son numéro de drague machiste, ne mâcha pas ces mots pour le remettre à sa place. Ne pouvant rester sur cet échec, Vincenzo oublia son premier principe : Ne jamais s’attarder dans une même ville, et resta durant de longues semaines à Topeka. De fils en aiguilles, après plusieurs tentatives, le jeune Finelli se rendit compte qu’elle était la seule raison pour laquelle il s’attardait tant dans cette ville. Il ne restait pas simplement pour se conforter dans l’idée qu’aucunes femmes ne lui résistaient. Non. Elle avait fait naître en lui, d’étranges sentiments contradictoires.

Maintenant, Vincenzo et Maeva partagent une adorable maisonnette, au cœur de Topeka. Ils sont les parents d’un petit Anthony, bientôt âgé de 3 ans. Maeva qui rêvait d’une vie reconnue est devenue la plus heureuse des femmes en compagnie de son fils et de son mari, qu’elle ne quitterait pour rien au monde, et Vincenzo lui, ce chasseur ayant toujours nié vouloir une famille, ne pourrait plus retourner chasser comme avant. Il ne ferait plus ces longs trajets durant lesquels il traversait différents Etats. Non. Il se contente de rester dans les environs, conciliant vie de famille/chasse et son métier de policier à Topeka. Car oui, il travaille.


Anecdote(s) de l'enfance :

Quelques mois après les deux ans d’Anthony, Maeva apprit à son mari qu’elle était enceinte d’un autre petit garçon. Alessandro.



« Paco lâche çà »

« Je suis pas ton chien, d’abord ! »

« Paco !! »

Dix minutes. Des cris résonnaient dans la demeure des Finelli depuis bientôt dix minutes. Dix minutes, ou chacun des garçons, postés à chaque bout du couloir, injuriait l’autre de tous les noms qu’ils connaissaient du haut de leur neuvième et septième année.

« Dis s’il te plait »

« Paco, rend moi ça où je te soulève par les pieds au dessus de la fenêtre »

Arquant les sourcils à l’entente de mot « fenêtre », Alessandro recula de quelques pas - la crainte de voir son frère courir vers lui omniprésente-, tourna doucement la tête vers la fenêtre, l’observa, constata qu’elle était fermée et repris sa place, rassuré. Puis, le sourire narquois et malicieux, il jeta :

« Pas possible mon capitaine ! T’es pas assez grand pour l’ouvrir ! » Et serrant contre lui, le DVD de Dragon Ball Z, Paco se prépara à presser ces mains dessus, sous l’œil apeuré de son frère ainé. Mais, pris d’une grande curiosité, et d’une grande envie de faire chanter son frère, il s’arrêta, et dit calmement :

« Dis Vasco, pourquoi tu y tiens tant ? »

Anthony, ne comprenant pas le soudain changement de position de son jeune frère, haussa un sourcil avança prudemment : Il devait gagner du temps. Car oui, il connaissait Alessandro. Le même sang coulait dans leur veine. Ils étaient des Finelli après tout. Menteur et négociateur du plus petit de leur doigt de pied jusqu’à la plus fine mèche de leurs cheveux.

« Parce que, tu sais … c’est … »

Pourquoi n’avait-il pas le sens du mensonge ultradéveloppé comme son père ou Alessandro. Pourquoi tenait-il de sa mère et avait pour lui, le sens de la réflexion ? Pourquoi n’avait-il pas hérité de ce côté si manipulateur et menteur …

« Vasco dépêche t’ »

« Papa ! »

« Quoi Papa ? Tu y tiens parce que Papa aime bien Dragon Ball Z ? Papa hait Dragon Ball Z … D’ailleurs papa déteste tout … Il préfère se poser devant ces vieux livres tout poussiéreux ou devant ces journaux en noirs et blanc plutôt que jouer avec nous à la’ … »

Soudain, une main se posa sur son épaule. Le sang du jeune garçon ne dut faire qu’un tour à ce moment. Cette main.

« Papa, tu vois quand je te dis que c’est Paco qui fait toujours le pitre »

« Han tu mens ! » Rétorqua le jeune garçon qui jusque là, c’était tut. Ce qu’il détestait son frère par moment.

La main de son père vint prendre le CD, jusque là collé contre la poitrine d’Alessandro et relâcha l’emprise qu’il avait sur l’épaule de son fils. Respirant un grand coup, Alessandro se prépara à courir vers son frère pour se jeter sur lui : Oui, il avait l’habitude de se jeter sur lui lorsqu’il l’avait balancé à leur père.

« Silvio ! Mario ! »

Se stoppant net, les deux enfants se regardèrent durant un long moment. Généralement lorsque leur père les appelait par leur deuxième prénom, ce n’était pas bon signe.

« Tu crois qu’on doit y allez ? » Demanda le plus jeune.

« Non, il doit juste faire des exercices avec sa voix » Lâcha le plus âgé, ironiquement. « Ba oui béta, il veut pas devenir chanteur. »

« Pff, t’es vraiment stupide quand tu t’y met »

« Hé me parle pas comme ça, le moufflet »

« Tu’ »

« Finelli ! »

Se décalant vers la droite, les deux frères penchèrent la tête vers le salon. Leur père était assis à table, les mains posées devant lui. Les yeux grands ouverts, ils se regardèrent et dirent en même temps :

« Fuyons ! »

Qui a dit qu'ils obéissaient à leur père ?


Anecdote(s) de l'adolescence :

« Tu changeras d’avis » Répéta Anthony pour la troisième fois.

« Non ! » Clamait son frère, entêté. « C’est ce que je veux faire ! »

« Mais non, tu n’es encore qu’un gamin. Tu ne sais pas ce que tu veux » Disait, le plus âgé, l’air agacé.

« Pourquoi tu ne me soutiens jamais dans mes choix ? Normalement les frères font ce genre de choses. Ils s’aident et se soutiennent. Toi, tu me démoralises. »

« Alessandro ! Tu changes d’avis comme de chemises. Tu n’es pas capable de garder plus d’une journée ton avis. Demain tu auras envie de devenir cosmonaute, je suis sur. C’est comme pour les filles, à ton âge, je savais déjà qui j’étais et quel genre d’homme je serais ! »

« Je le sais aussi ! » Riposta Alessandro ! « Je sais qui je sus et qui je veux être ! Je le sais ! »

« Non ! »

« Je veux être chasseur, ça je le sais, on le sait tous, mais je veux aussi être autre chose ! Je veux travailler au FBI ! »

« Arrête de raconter des âneries, tu ne veux être un agent que parce que je le suis ! Tu veux toujours tout faire comme moi »

« Arrête de te prendre pour papa et de me dire ce que je pense ! Je n’ai plus dix ans ! » Haussant le ton, Alessandro se voyait déjà claquer la porte et fuir ce monde, ou son frère se prenait pour le meilleur, juste parce qu’il était plus âgé, de seulement quelques années. Tout ça parce qu’il était devenu Agent du Fbi avant lui ! De toute façon, Alessandro se savait meilleur. Il savait qu’il pourrait le faire, lui aussi

« Hier, tu voulais être mannequin. Avant-hier, bucheron. Encore avant-hier, avocat ! Oh et rappelle moi ce que tu voulais faire étant petit ? Professeur, puis journaliste ! Tu n’as jamais su ! »

« Maintenant, je sais. »

« Et dis moi pourquoi ? Qu’est qui te fais tant envi dans ce métier ? Tu as dix sept ans. Qu’est qui te fait tant envi dans ce job ? Crois-moi, ce n’est pas « fun » ou « délirant ». »

Un sourire malicieux aux bouts des lèvres, Alessandro savait parfaitement comment agacer son frère. Il lui suffisait de, prendre ce sourire narquois, et répondre sur un ton désinvolte :

« Pour la plaque et la voiture ! »


Anecdote(s) de la vie actuelle :

« J’ai passé une nuit d’enfer » Assis à son bureau, les jambes étendues et les pieds croisés, Alessandro discutait avec l’un de ces collègues, Tim, de leurs soirées respectives. Comme toujours, le jeune Finelli se vantait de la compagne avec laquelle il avait finit la soirée.

« Blonde ? » L’interrogea son ami, les sourcils arqués.

D’un simple hochement de tête accompagné d’un sourire malicieux, Alessandro s’empressa d’ajouter, devançant les remarques sur le fait qu’il n’aimait que les blondes. « Elle était différente ! Elle était … »

« Elle était quoi ? Plus grande ? Plus mince ? Elle semblait plus mystérieuse que les autres ? » Demanda Timothy, un léger sourire en coin.

« Non… » Cherchant un objet de la pièce à fixer, il était remarquable qu’une pointe de mal aise s’était installé en Alessandro. En effet, il ne pouvait expliquer pourquoi la jeune blonde de la soirée précédente était différente. Enfin si, il le pouvait mais pas complètement. Il ne se voyait pas dire à son collègue qu’elle était chasseuse, qu’il en était un aussi et reprendre comme si de rien. Non. Alors, admettant un sourire amusé, il conclut. « Plus forte poitrine. »

Soudain, alors que leurs rires envahissaient la pièce, la porte du bureau s’ouvrit dans un geste brusque, laissant apparaître un homme noir, d’une quarantaine d’année.

« Boss » Dirent, surpris, les deux agents.

« Finelli asseyez-vous. Grant, vous, dans votre bureau. » Alors que Tim quittait la pièce dans le silence complet, Alessandro reprit une posture adéquate. « Je dois vous parler » Lança l’homme, sur un air plutôt sérieux. Et, sans laisser le temps au jeune de se préparer, il lança : « Vous êtes transférés ou plutôt renvoyés à Salvation. Ils ne veulent plus de vous à Topeka. Il parait que vous avez des méthodes de travail trop … »

« Trop ? » Reprit Alessandro, les sourcils haussés.

« Trop trop. Il n’y a pas mots. Vous êtes juste trop. » Conclut alors le plus âgé, se redressant et se dirigeant vers la porte. Portant la main à la clenche, il se retourna furtivement, lançant :

« Au faîtes, une co-équipière vous attend là-bas. »

Je pense avoir terminée

Tu as rempli la partie déclic tu le considéres comme un chasseur aussi alors ou pas ?

Ah oui, c'est un oubli de ma part
Il est aussi chasseur.

D'accord j'étais pas sûre .
Je valide alors ^^.

Quelques changements faits.
Plus qu'à changer de kit XD

Ca marche je fais les changements ^^.

C'est HS mais...

Citation :

- Lorsqu'il épelle son nom, il dit toujours 'F majuscule; 'inelli minuscule

J'adore

Je voulais pas mettre ça au début en plus
Je voulais qu'il est un nom genre FiNelli avec le N majuscule, l'anecdote aurait été plus marrante