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| Erin Sinclair | |
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+2Alessandro Finelli Erin Sinclair 6 participants | Auteur | Message |
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Erin Sinclair I said frak. So what ?
Nombre de messages : 151 Age : 33 Mood : Oh, frak ! Occupation : Recherche sa voie & Pot de colle. Adresse : N244, Fisher Road. Date d'inscription : 27/10/2007
°Oo Devil Mood oO° Stade de Possession: (0/3) Pouvoir: // Relations:
| Sujet: Erin Sinclair Sam 27 Oct - 21:34 | |
| IDENTITE• Nom : Sinclair.• Prénoms : Erin Grace.• Surnoms : La belle n’a jamais été victime de surnoms intempestifs.• Age : L’étudiante traînera prochainement vingt-deux printemps derrière elle. • Date de Naissance : Un onze octobre, dans le cru des années quatre-vingt.• Lieu de Naissance : Minneapolis, Minnesota, Etats-Unis d’Amérique.• Nationalité : Erin est une authentique Américaine de pure souche.• Occupations : La demoiselle est étudiante en Droit International.PSYCHOLOGIE• Plus Grande Qualité : Il va de soi que la plus grande qualité, et aussi la plus noble, est l’oreille attentive que porte Erin à son entourage. Bien qu’elle paraisse aux premiers abords comme une hyperactive immature dont le centre d’intérêt principal est la nourriture, il s’en révèle être tout autre. En effet, la demoiselle est beaucoup plus mature que l’on pourrait le croire, et donne des conseils impressionnants. Bien qu’il lui arrive de gérer sa vie parfois difficilement, elle est l’une des personnes les plus demandées en conseils pratiques. L’étudiante peut passer parfois bien des heures à écouter les problèmes de cœur d’une amie, ou à aider un camarade de classe en difficulté. Pour elle, la confiance même se base sur l’écoute d’autrui, et elle n’imaginerait pas sa vie sans que ses proches se confient belle. Bien qu’elle-même parle difficilement de sa vie et de ses expériences, elle porte un regard nouveau sur tout ce qu’on peut lui conter, et n’a jamais jugé bon d’argumenter les soucis des autres. En effet, elle n’est pas de cette classe de filles à donner son avis sur l’existence des autres, et encore moins à en alerter les médias. Et même si sa nature bruyante et fougueuse laisse présager le contraire, Erin fait preuve d’un calme étonnant lorsqu’on lui parle sérieusement, et elle semble tout autre. Son humour caustique pourrait aussi paraître comme une qualité assez importante dans l’optique où cela permet généralement de détendre l’atmosphère.• Plus Grande Défaut : Un sens de la réparti qui a sérieusement tendance à se transformer en une franchise exacerbée, qui ne plaît que très moyennement à certaines personnes. Il arrive qu’Erin ne prenne pas conscience de l’ampleur que peuvent avoir certaines de ses paroles, bien qu’aucune de ses remarques ne sont sensées porter préjudice à quelqu’un. Et qu’il s’agisse de son pire ennemi ou de son ami le plus proche, personne n’échappe aux remarques poignantes et caustiques de l’étudiante, qui pense qu’une bonne prise de tête vaut mieux que certaines hypocrisies. Après, c’est un point de vue personnel, mais elle est persuadé que la vérité, aussi houleuse soit-elle, est sans aucun doute la meilleure des façons d’établir un climat de confiance. Cependant, cela ne veut pas dire qu’Erin passe un tiers de sa vie à critiquer chaque être susceptible de la déranger d’une quelconque manière. Simplement, si quelqu’un s’attarde à lui demander son avis, il ne faut même pas songer à ce qu’elle utilise la douceur. Les mots ne sont pas spécialement forts, mais l’étudiante y va rarement par quatre chemins, et dit clairement ce qu’elle pense, voire ce que les autres pensent tout bas. Ce qui est d’autant plus énervant, étant donné qu’Erin se trouve avoir un avis sur tout et rien, et ne manque donc jamais l’occasion d’ajouter son grain de sel dans une conversation, ce qui termine souvent en débat de force majeure. Ensuite, son manque de discrétion peut parfois être très embarrassant. Non contente de dire ce qu’elle pense à tout bout de champs, Erin se sent également obligée d’en faire part à tout le comté. Bruyante et maladroite, c’est souvent à cause de cela que les regards se tournent vers elle. Mais comme la belle le dit elle-même, le plus important après tout, c’est qu’on la regarde. La raison, elle s’en fiche.• Manies : Erin a l’étrange manie d’appeler son entourage, plus ou moins proche, chéri. Il est vrai que cette marque soudaine d’affection peut engendrer un sentiment de stupéfaction, voire même d’incompréhension. Mais la belle sait accorder le mot, et ce, dans tous les sens du terme. Cette appellation particulière peut, évidemment, avoir une consonance ironique, dans l’optique où elle appellerait son pire ennemi de la sorte. Maintenant, la seule chose est de savoir si ce pseudonyme se manifestera positivement, ou un peu moins. Quoi qu’il en soit, c’est une habite qu’elle a fini par prendre avec les années, et c’est un mot qui sort presque machinalement. Ensuite, Erin a pris l’habitude de s’exprimer avec des sons, voire des bruits bestiaux, si les mots lui manquent. Ainsi, il n’est pas rare de l’entendre hurler d’étranges sons tels que « YIHA » ou « BONZAÏ ». Et généralement, ces manifestions se font lorsque le calme règne. A croire que la belle ne s’exprime seulement que lorsqu’elle est certaine que l’assemblée entière soit toute ouïe. Et pour finir, Erin attise son charme par de petits mots sympathiques qu’elle glisse dans une bonne partie de ses phrases. Ces termes injurieux, voire grossiers, qui sonneraient presque faux dans sa bouche, et pourtant. La demoiselle place fréquemment des « Merde », « Bordel » ou « La vache » au milieu d’une conversation. Mais son mot de mécontentement préféré n’est d’autre que l’incomparable « Frack », sans modération.*** • Première Chose Qu’Elle Fait le Matin : Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les matinées d’Erin sont parfaitement organisées. Et bien entendu, il ne s’agit que d’un point de vue personnel, et Dieu seul sait comme un jugement peut manque d’objectivité lorsque l’on est le principal intéressé. Dès son réveil, un automatisme se met en route ; effectivement, les débuts de journées de l’étudiante se déroulent en cinq étapes capitales. La première, et sûrement la plus dure, consiste à ce que Erin se réveille. Une fois cette première étape franchie, le tout continue comme une suite logique. Après avoir émergé de son sommeil, la demoiselle entame la seconde étape, et non des moindres, se hisser hors du lit. La troisième étape semble pourtant bien plus simple ; faire le trajet lit-canapé, avec une halte aux toilettes si besoin est. Une fois cette troisième étape finie, la quatrième consiste à déjeuner devant la télévision. La plupart du temps un bol de céréales – light s’il vous plaît – et un café, voire deux. Et la dernière étape, un réconfort après l’effort, refaire le trajet en sens inverse et retourner dans ses draps. Allez maintenant savoir pourquoi Erin persiste à continuer ce rituel quotidien.• Ce Qu’Elle Fait à la Pause-Déjeuner : En raison du fait qu’Erin soit toujours étudiante, et ce pour une année encore à l’université, ses pauses déjeuner sont dans une tranche horaire identique chaque journée. De midi à treize heures, l’étudiante est libre de circuler à sa guise dans le campus, et même de rejoindre la ville, à condition de ne pas manquer la reprise des cours. Durant cette heure de temps libre, il va de soi qu’Erin se sustente, bien qu’elle passe une claire partie de ses journées à manger. Cependant, elle ne prendra jamais de repas à la cafétéria du campus, pour la simple et bonne raison qu’elle est persuadée de mourir dans la semaine à venir si elle y touche. Il faut savoir que la nourriture est une sorte de Dieu chez la demoiselle, et que la mauvaise nourriture, comme celle que sert la cantine, est un sacrilège. Et c’est pourquoi elle emporte toujours un repas avec elle. Un sandwich, mais plus principalement un repas froid, surtout des crudités, histoire de faire light en comparaison de ce qu’elle mange le reste du temps. Et hormis le fait de se nourrir, il n’est pas rare que la belle se fasse draguer par un macho pur et dur qui, évidemment, se fait remballer avec la prière de rester à plus d’un mètre.• Sa Soirée Type : Car même si elle affectionne le monde autour d’elle, Erin ne peut nier qu’une soirée seule en tête à tête avec elle-même ne lui déplaît guère. De quoi manger, surtout, et un bon programme à la télévision, il ne lui en faut pas plus. Et à vrai dire, la belle plonge en même temps sur divers projets et recherches concernant le surnaturel, ce qu’elle préfère ne pas ébruiter autour d’elle. Ou, il y a ces soirées où elle s’invite chez Juliet, fortuitement à l’heure du repas. Evidemment, voir son amie est un réel plaisir, mais déguster ses plats en est un également. Il arrive d’ailleurs qu’elle croise Nate, et lorsqu’ils se retrouvent nez à nez, avec de la nourriture en prime, les discussions intellectuelles sont mises de côté. De toute manière, la nourriture est un bien sacré.• Contenu de Son Sac à Main : Il faut mieux éviter le sujet, dans l’optique où le sac à main d’Erin pourrait se définir par un seul terme ; un foutoir monumental. A vrai dire, elle n’a jamais eu le réel courage de vider son sac, ou même de le ranger. Si ce n’est qu’elle commence sérieusement à y penser, en raison du fait qu’elle passe plus de dix minutes chaque jour à trouver ce qu’elle cherche. Et personne n’évoquera les files monstrueuses qu’elle engendre au supermarché en recherchant son porte-feuille. Dans ce dit-sac, on est susceptible de trouver, enfin sûrement, personne ne s’est aventurer dans les méandres fantasques de ce trou noir ; un porte-feuille en cuir noir avec quelques billets froissés, des cartes de crédit, de fidélité, d’identité, des tickets de caisse, quelques photos et des pièces pour le parcmètre. Une paire de lunettes de soleil, des mouchoirs en tissu, des cachets d’aspirine, des pièces de monnaies, un peigne, du baume à lèvres, un nécessaire féminin, des bics ou crayons, son agenda, du papier collant qu’elle n’a jamais utilisé (et dont elle ne se souvient même plus de l’origine), son mp3, un couteau suisse (sait-on jamais), des sparadraps, des publicités, des horaires d’ouverture d’elle ne sait quel magasin et, évidemment, des chewing-gum mentholés. • Contenu de Sa Table de Chevet : Cet endroit de l’appartement doit être le seul dont personne n’ait vu la couleur du bois, si pas même Erin. A vrai dire, cette table de chevet est l’endroit rêvé pour tout ce qui n’a pas de place en d’autres endroits. Outre la lampe de base, dont l’ampoule clignote par moment, on y trouve des coupures de presse, des bics, des médicaments, son portable et d’autres objets étranges. Ce même portable est en quelque sorte la deuxième télécommande du domicile, soit l’objet que la belle cherche de longues minutes durant, alors qu’il se trouve simplement sous un tas d’autres objets qui n’ont strictement rien à faire là. Et dans le tiroir de la table de chevet, et contre toutes attentes, se trouve une lame blanche assez fine, qu’elle nommera simplement poignard. Evidemment, cette lame est camouflée par d’autres choses telles que des magasines ou des vieilles piles dont Erin devrait un jour se séparer. Etant donné que l’existence d’un couteau dans un tiroir fragile d’une table de chevet pourrait grandement étonné, Erin n’en a jamais fait une affaire d’état. Bien qu’elle n’ait jamais du l’utiliser, la demoiselle semble se sentir en sécurité optimale avec cet objet plutôt dangereux.• Contenu de Son Réfrigérateur : Pour contraster avec le débarras, Erin a pris l’initiative de garder son réfrigérateur en ordre. Déjà pour donner une meilleure impression, car peu de personnes fouillent son débarras. Et ensuite car l’hygiène tient trop d’importance dans sa vie pour voir ce lieu empli de nourriture, qu’elle chérit tant, se transformer en nid à bestioles et à odeurs suspectes. On y trouve ce que l’on est sensé y trouver ; des légumes et des fruits d’une fraîcheur incomparable, et on dit merci à la supérette ouverte vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Toutes sortes de yaourt light aux fruits, des boissons telles que de l’eau, des jus de fruits et du soda, light aussi. Mais ce frigo a quelque chose d’unique, et c’est d’ailleurs pour ça qu’elle l’a acheté, il comporte un tiroir supérieur, juste en-dessous du bord supérieur du réfrigérateur. Evidemment, le commun des mortels n’en connaît pas l’existence, et c’est pour cette raison que Erin y cache ses tablettes de chocolat. Et question chocolat, elle se souvient avoir réussi à y placer quatorze tablettes, qui ont disparu à une vitesse assez impressionnante. • Contenu de Son Armoire à Pharmacie : Un peu comme les autres coins cachés de l’appartement, l’armoire à pharmacie est un véritable trou noir du rangement, le chaos de l’ordre. Cependant, ranger une fois pour toute cette armoire n’a jamais fait parti de ses bonnes résolutions. Elle-même serait incapable de dire ce que pourrait contenir cette boîte métallique, et semble ne pas vouloir le savoir. Erin sait simplement qu’elle contient des médicaments, et que certains devraient ne pas être là. Entre les cachets d’aspirines, les sirops pour la toux, les désinfectants et autres nécessaires de premier secours, la belle s’est fait une raison ; si elle a un quelconque problème, elle file soit à l’hôpital, soit chez Juliet. Quoi que la cuisine de Juliet n’est pas comparable à celle que l’on reçoit dans les centres hospitaliers. En bref, Erin évite simplement de tomber malade, elle essaye.GOÛTS• Couleur Préférée : Couleur ardoise, variante entre le bleu et le gris.• Plat Préféré : Les mets européens, principalement ceux de Grèce.• Chanson Préférée : Les chansons de Queen, quelles qu’elles soient.• Livre Préféré : Un penchant prononcé pour les autobiographies.• Film Préféré : The Fugitive, d’Andrew Davis, avec Harrison Ford. | |
| | | Erin Sinclair I said frak. So what ?
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| Sujet: Re: Erin Sinclair Sam 27 Oct - 21:34 | |
| APPARENCE
• Allure Générale : Outre le fait d’une beauté naturelle et sincère, il est indéniable de préciser que le charisme et le charme envoûtant de la demoiselle ont tous les éléments pour jouer en sa faveur. Elle est de ce genre de personnes à illuminer une pièce par sa présence et son charisme, si ce n’est pas sa beauté même. Alors qu’elle n’était qu’une enfant, tous présageaient déjà des traits fins et harmonieux à la jeune femme. Erin peut de même apprécier pleinement son adolescence, car elle semble n’avoir jamais été sujette aux problèmes disgracieux et inhérents de cette période de la vie. Il est vrai que l’étudiante ne ressemble pas traits pour traits à ces filles retouchées dans des magasines, et elle est encore moins un objet sur lequel se retournent les regards dans la rue. Et ce fut sans doute à cause de ce sourire qui lui est particulier et unique, et à cette distance qu’elle tenait entre la gente masculine et elle, qu’elle devint rapidement un fantasme chez certains étudiants à la fin de ses études au lycée. Et pourtant, Erin a toujours ressentit un handicap certain en raison de sa petite taille. Certaine elle ne passe guère inaperçu, mais son mètre soixante-cinq, comparé au mètre soixante-quinze et aux longues jambes d’autres jeunes femmes, l’a énormément complexée. Cependant, le proverbe assurant que tout ce qui est petit est inévitablement mignon, convient parfaitement à la situation. Un mètre soixante-cinq pour un poids des plus convenables, voire peut-être en-dessous de la moyenne, il ne faut cependant pas espérer qu’elle vous en fasse par, car demander à une jeune femme le poids qu’elle est fait est pire qu’une offense à toute sa famille. Certes, la jeune femme ne possède pas de longues jambes élancées semblables à des allumettes, mais les proportions de son corps ne réclament pas des jambes d’un mètre vingt. La demoiselle possède un teint légèrement hâlé, dû aux nombreuses vacances de son adolescence, notamment grâce au soleil australien, et aux températures clémentes de la Californie. Ses traits sont doux et fins, semblables à ceux d’un enfant. Et il n’est pas négligeable de préciser que Rachael a gardé cette texture de peau qu’on les enfants d’une dizaine d’années, ainsi qu’une expression de visage. Ces traits la font d’ailleurs rajeunir de quelques années, car il se trouve qu’on lui demande parfois sa carte d’identité pour entrer dans certains bars, ce qui la met mal à aise. D’un point de vue général, il n’est pas nécessaire de préciser que le corps entier de Erin est une harmonie certaine, non seulement à cause de ses courbes placées là où il le faut, et de son teint américain. Et d’ailleurs, ce n’est pas parce que son décolleté est plein, que sa tête est vide. L’étudiante possède un visage assez ovale, tirant plutôt vers le triangulaire au niveau du menton. Ses pommettes légèrement élevées donnent un air des plus féminins à l’ensemble de son visage, ainsi que ce sourire tellement gai et naturel qui la rend adorable. Erin possède deux yeux en amande d’une couleur bleu, virant vers le vert bouteille, en plus d’ une lueur malicieuse qui brille au fond de ses prunelles. D’un point de vue capillaire, Erin possède une abondante chevelure blonde, aux mèches plus foncées, virant parfois sur le châtain. Et si elle enchaîne rendez-vous chez le coiffeur, ses cheveux n’ont cependant pas perdu de leur volume naturel, et de cette impression de douceur. Ils sont de nature plus raides, et il arrive qu’elle décide subitement de les faire onduler. Et pourtant, derrière ce sourire envoûtant et ce visage d’ange, la femme qui sommeil en Erin n’attend que l’instant propice pour se réveiller au grand jour.
• Style Vestimentaire : A vrai dire, un rien l’habille, mais Erin se révèle être une casse-pied incontrôlable lorsqu’il s’agit de vêtements. Non pas qu’elle désire les marques les plus en vogue ou aux prix exorbitants, simplement qu’il est impossible de lui en offrir, à moins qu’elle ne soit à dix-huit centième et quatre millimètres de vous. Tenter de lui trouver une tenue sans la consulter avant, et la troisième guerre mondiale se déclenche. Bien au contraire, Erin aime particulièrement qu’on lui offre des cadeaux et qu’on lui fasse des surprises, mais les vêtements, c’est son domaine, à point c’est tout. Le seul et véritable problème ; la demoiselle est extrêmement difficile, et n’arrive jamais à faire un choix. Une journée shopping avec elle doit durer entre cinq et six heures minimums, et toutes les boutiques ne seront pas faites. Ce qui est d’autant plus dur, c’est que la belle n’a pas de style prédéfini, et qu’elle achète certaines choses parce qu’elles lui plaisent dès le premier regard. S’assurer une garde-robe pour la prochaine saison est donc chose très difficile pour l’étudiante. Cependant, Erin a un goût prononcé pour les dernières modes, et ce, sans vouloir être à la tête de l’affiche. Non, ces goûts sont généralement tournés vers les choses simples, et le point tape-à-l’œil possible. La demoiselle aime particulièrement les jupes et les robes, qu’elle porte été comme hiver. Longues, courtes, à franches ou droites, elle les aime toutes, tant que cela reste dans les normes. Un exemple simple, elle ne portera jamais de mini-jupes, sinon, autant se balader en sous-vêtements. Pour les pantalons, c’est tout autre chose. Elle a toujours eu horreur de la mode des pantalons larges, et est bien heureuse du retour des slims. Slims et mini-shorts sont pour elle de grands classiques, et elle ne s’imagine par sortir sans. En ce qui concerne les hauts, Erin affectionne les tops moulants aux longues tuniques larges où elle peut rentrer trois fois. En hiver, l’étudiante optera pour une paire de botte en cuir, hauts-talons obligatoires. Par contre en été, elle ne porte que des tongs. Ballerines et baskets si besoin est, mais les tongs passent avant tout. Et puis il y a les dernières touches ; une écharpe qui contraste en hiver, des boucles d’oreilles, de longs colliers clairs, un sac à main pratique, une paire de lunettes de soleil, une montre, etc. Quoi que pour ce qui concerne les boucles d’oreilles et les bijoux, Erin a toujours eu un goût pour les babioles en toc qui ne valent rien, et qu’elle trouve cependant très sympathiques.
AUTRES
- Erin, contrairement aux apparences, est l’une de ces rares personnes à supporter l’alcool étonnement bien. Et bien qu’elle soit relativement jeune et qu’on ne puisse guère la considérer d’alcoolique, la demoiselle peut enchaîner les verres et rester complètement lucide, et tenir une conversation. - L’étudiante est polyglotte. Parlant Anglais, Français et Espagnol à la perfection, Erin a également la capacité de prendre les accents de différents langages, dont ceux-ci. De ce fait, il est quasi impossible de la reconnaître au téléphone si elle le désire, et cela lui permet en outre de camoufler plus facilement son accent américain bien prononcé. - Erin découpe, depuis ces dernières années, les coupures de presse dont les thèmes sont centrés sur des événements surnaturels. Ces articles, elle les entasse dans un album en cuir bordeaux, rangé soigneusement dans son armoire. Avec les mois, cet album semble plutôt bien rempli, mais trop semblable à ceux de famille. Ainsi, il est déjà arrivé que, lorsqu’un proche demande à voir l’un des albums photos de la famille, la belle lui présente le mauvais album, ce qui provoque généralement une grande stupéfaction. - Derrière ces airs angéliques et d’étudiante modèle, Erin se révèle être une véritable tête de mule, coriace qui plus est. Issue d’une famille essentiellement orientée vers la chasse et le surnaturel, c’est depuis ses quatorze ans que la belle s’entraîner à manier l’arme blanche, toutes sortes de lames tranchantes. La demoiselle est d’ailleurs plus que doué dans ce domaine, bien qu’armée d’un revolver, elle touchera tout, sauf la cible. - La demoiselle sait certes cuisiner, mais c’est par flemmardise qu’elle préfère les repas instantanés. Cependant, lorsque ces salades végétariennes la lassent, Erin ne manque de faire un saut chez Juliet Graham, une amie proche, afin de profiter de sa cuisine suave. Bien qu’elle invente généralement une raison pour s’immiscer chez elle, Juliet la connaît assez pour envisager un couvert supplémentaire. Plutôt chouette les amis cordons-bleus. - Lorsqu’Erin était enfant, son plus grand rêve était de devenir conducteur de poids lourd en Europe. Ses parents n’ont jamais pu découvrir la raison de ce désir, mais jusqu’à son douzième anniversaire, la demoiselle se vouait à une grande carrière de conducteur de camions américains, afin de faire le tour du monde. Evidemment, avec les années, ce rêve s’est estompé, mais la jeune femme n’en démord pas ; un jour, elle conduira un camion, dans le but ultime de ressentir ces secousses. En attendant, elle se contente de sa moto, bien qu’un peu extravagante et énorme en comparaison de son gabarit. Mais cette moto, c’est son enfant. Le seul objet pour lequel elle voue un culte intemporel.
• Avatar : Kristen Bell <3 • Fille/Garçon : Cacahuète. | |
| | | Erin Sinclair I said frak. So what ?
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| Sujet: Re: Erin Sinclair Sam 27 Oct - 21:35 | |
| "] HISTOIRE• Parents : Minneapolis, dix-neuf quatre-vingt cinq. Une nappe de brouillard embaumait les quartiers résidentiels de la cité, présage d’un hiver proche. Ces derniers jours, la température avait étonnement chuté pour un début d’octobre. Et pourtant, les chênes dénudés et les rues verglacées n’annonçaient qu’un hiver redoutable. Le soleil estival des dernières semaines se mourait un peu plus chaque jour, et il semblait avoir finalement disparu sous le poids de la fatalité. Grand Road Street. Cette avenue bordée de sapins et décorées par le gouvernement offrait une vue incomparable. Assez surélevée par rapport au reste de la ville, les plates-bandes du Minnesota et les champs aux blés d’or contrastaient avec la monotonie des briques industrielles. De hautes bâtisses grisâtres, parfois dans les teintes brunes, s’élevaient avec splendeur. Des tuiles foncées, des châssis similaires, des jardins soigneusement entretenus. Une accalmie reposante. Et c’est au numéro cent-seize que s’établissait une famille, originaire de Louisiane, avec leurs deux enfants, dont un troisième qui montrerait prochainement le bout de son nez. Parker Sinclair avait demandé, sept ans auparavant, Gabrielle Underwood, alors qu’ils attendaient leur premier enfant. Architecte réputé et connu des entourages, monsieur Sinclair possédait un cabinet et un personnel au centre-ville. Cette entreprise familiale, que son propre père avait créé, tenait une place importante dans son quotidien, et était quelque part une manière de reprendre une vie normale. Madame Sinclair était femme au foyer. Cuisinière hors-paire et douée pour le chant, elle avait abandonné tout espoir de faire carrière dans l’art au profit de l’éducation de sa progéniture. De cette union naquirent d’abord Aaron et Samuel, deux garçons vigoureux, qui suivraient probablement les traces de leur père. Et bien que cette famille se clamait une vie banale, le couple Sinclair avait pourtant prouvé le contraire, il y a peu de temps. Issu d’une famille de chasseur, monsieur Sinclair avait passé ses jeunes années à chasser le surnaturel, et ce n’est que lorsqu’il épousa cette jeune européenne, qu’il cessa ses activités. Et bien qu’il fut coupé totalement du monde surnaturel, il ne manqua pas d’instruire ses bambins, et de les mettre en garde. C’est ainsi que leurs trois enfants furent longtemps éduqués dans une normalité incomparable, avec cependant des connaissances étonnantes sur ce qui pouvait les entourer au quotidien. Une famille comme les autres, avec ses secrets.
Onze octobre. Grand Road Street, numéro cent-seize. « Parker ? » souffla Gabriella, les mains tremblantes. Son visage avait soudainement blêmit, et sa voix était saccadée par de douloureuses respirations, qui semblaient toutes être des coups qu’on lui assénait en plein cœur. Parker Sinclair apparut dans le salon.« Chérie, que se pass … Merde. » Les yeux écarquillés, il remarqua avec un certain effroi que le travail commençait. Il se mit à secouer la tête nerveusement. Il fallait absolument qu’il reprenne son calme, et qu’il soit maître de la situation. Après deux accouchements, il se devait d’être assez habitué, mais à chaque fois, il avait l’impression de frôler la crise de nerfs. Tentant vainement d’articuler quelques mots, ce fut un cri strident qui l’incita à se contrôler.« Attends. Attends … Attends. » marmonnait-il pour lui-même, faisant les cent pas sur le tapis verdâtre du salon. Les sourcils froncés, ses pas résonnaient dans la pièce.« PARKER ! » hurla Gabriella.
Stoppant alors sa course, Parker se retourna vivement. Il était temps qu’il prenne les choses en main, car une femme sur le point d’accoucher était pire que les wendigos qu’il avait pu affronter ces dernières années. Résolu à agir, il fut alors assailli par le doute. Que faire ? Les mains moites, il s’approcha de sa femme, qui semblait prête à tuer tout ce qui pouvait se présenter devant elle. Il hésita un instant. Dure labeur.« La clinique, Parker ! LA CLINIQUE ! » s’exclama la femme, d’un ton désinvolte. Il lui sembla que son cher et tendre n’avait guère l’esprit vif en ce moment. Le regard noir et lourd de sens qu’elle lui lança l’incita à s’activer assez rapidement.« D’accord. » L’homme se dirigea en titubant vers la porte d’entrée. Ce ne fut qu’un second cri qui le ramena à la raison. C’était une bonne initiative que d’aller à la clinique, mais encore fallait-il que sa femme soit là. Cela aurait été plus pratique, sans doute.« PARKER ! » hurla-t-elle à nouveau. Ses cris étaient de plus en plus nombreux, et de plus en plus aigus. Elle finirait bientôt par briser les assiettes et les verres en cristal.« S’il te plaît, chérie. Calme tes hormones. »Il clama cela magistralement, d’un ton non-adapté à la situation. Quelques secondes plus tard, il prit la résolution d’aider sa femme à se lever. Il la conduisit vers la voiture, lui apportant une aide précieuse, afin qu’elle ne trébuche pas. Il avait fallu le temps, comme les deux fois précédentes, mais finalement, il reprit le dessus sur la situation. Enfin.*** • Anecdote de l’Enfance : Assise sur l’une des chaises d’acier au coussin bleu, Erin balayait le long couloir des yeux. Des cadres, des récompenses, des fenêtres, des trophées. Les jambes balançant dans le vide, l’enfant sifflotait gentiment, un casque sur les oreilles. L’école primaire Saint Hill de Minneapolis tentait d’offrir le maximum de confort aux bambins qui y allaient, mais il arrivait parfois que le corps professoral tombe sur des élèves plus difficiles, voire indisciplinés. Du haut de ses sept ans et quatre mois, Erin faisait parti de ces enfants incontrôlables et brillants. Depuis le début de l’année, elle avait déjà été convoquée deux fois dans le bureau du principal. Et comme pour accomplir le dicton, la fillette était appelée une troisième fois. Seize heures vingt-sept. La porte entrebâillée s’ouvrit complètement, laissant apparaître la silhouette massive du directeur. Erin le détailla un instant, mais eut vite fait de replonger dans ses pensées.« Mademoiselle Sinclair, dans mon bureau. » grogna l’homme d’une voix rauque et peu commode. La fillette s’exécuta lentement, et coupa la musique de son baladeur cd. Une chewing-gum entre les dents, elle prit place sur une chaise plus confortable, face au proviseur. Et sans réfléchir, elle plongea son regard dans le sien, l’air impatient.« Erin. C’est la troisième fois depuis le début de l’année, tu sais ? »« Attendez. Octobre, novembre. Ca fait bien trois. » conclut-elle finalement.Le directeur soupira longuement.« Ton professeur de mathématiques m’a dit que tu t’étais montrée insolente. »La fillette haussa simplement les épaules. Insolente, c’était lui qui voyait. Et de tout manière, elle avait toujours détesté ce professeur stupide aux oreilles de singe.« Tu es une élève brillante, Erin. Mais tu es … Comment dire. »
« Indisciplinée ? Incontrôlable ? Casse-pied ? »Le directeur hocha la tête malgré lui. Trois en un, Erin Sinclair faisait mieux que les pastilles pour lave-vaisselle de l’époque. Il est vrai que la fillette n’avait jamais tenu compte du règlement, et que malgré les remarques incessantes, elle persistait à vouloir montrer qu’elle était la plus forte. Une tête de mule qui désirait prouver ses valeurs. Puis, la porte de la pièce claque une seconde fois.« Madame Sinclair, nous vous attendions. Je vous en pris. » répliqua-t-il, indiquant la seconde chaise du doigt. Gabriella Sinclair prit place, avant de lancer un regard lourd de sens à sa fille. Erin ne peut répondre que par un sourire embarrassé.De nombreuses discussions suivirent. La réunion toucha à sa fin vers dix-sept heures, et la famille Sinclair se mit en route pour regagner leur domicile. Une fois dans la voiture, les règlements de compte ne tarderaient pas, et Erin sentait les réprobations de sa mère.« C’est la troisième fois. Ca commence à devenir embarrassant, Erin. »
« C’est de la faute de ce prof. C’est un crétin. » rétorqua la fillette.
Sa mère soupira, et secoua nerveusement la tête.« Pas de ça avec moi. Il faut assumer, jeune fille. Que s’est-il passé ? »Erin haussa les épaules.« Tu te souviens du contrôle de math ? J’avais fait les résonnements et les calculs intermédiaires de tête, et il m’a mis zéro, parce que j’avais pas suivi son modèle de base. » s’exclama la fillette, l’air mécontent.« Quoi ? Il t’a mis zéro pour t’être montrée plus intelligente que lui ? »La fillette dodelina doucement la tête.« C’est bien ce que je lui ai dit ! » conclut-elle, les yeux grand ouverts.
Gabriella marqua une pause, se retenant de ne pas rire. Elle était la mère, et il fallait qu’elle garde son autorité. Mais pour la troisième fois, Erin s’était retrouvée dans le bureau du principal, simplement parce qu’elle avait osé tenir tête à un professeur, et surtout, parce qu’elle avait eu raison. La femme hocha simplement la tête. © INSPIRE DU FILM « LE JOUR D’APRES » | |
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| Sujet: Re: Erin Sinclair Sam 27 Oct - 21:36 | |
| • Anecdote de l’Adolescence : Assise au comptoir d’un bar miteux, quelques mèches blondes lui caressaient les joues. Les sourcils froncés, son regard se noyait dans les vodka, comme ses pensées. Il était minuit passé de dix-sept minutes. Dans un soupire interminable, elle but d’un trait l’un des verres qui se trouvaient devant elle. Le barman arqua un sourcil, incrédule. Mais le sourire lucide que lui lança Erin suffit à le réconforter. Ce n’était ni la première, ni la dernière fois que la belle enchaînait les verres de vodka. Un air de rock dans les oreilles, elle secouait légèrement la tête, avant qu’une silhouette massive, tapie un peu plus tôt dans l’obscurité, ne vint la sortir de ses songes. Elle leva les yeux au ciel. C’était inhérent aux bars ; les idiots qui tentaient absolument d’assouvir leur fantasme sur des étudiantes frêles et sans défense. Pauvre gars, il était réellement mal tombé. Il lui asséna un coup de coude sympathique, avant de lui dévoiler ses dents.
« T’as l’air de bien supporter l’alcool. »
Il conclut avec un sourire satisfait. Il la détailla rapidement, avant de commander une bière. Elle afficha un maigre sourire, avant de détourner le visage. Il avait l’air sûr.
« C’est que mon père dit aussi. Il est flic, vous savez. » assura-t-elle, terminant un sourire angélique. L’appellation simple de policier avait suffit à calmer ses ardeurs.
« Je vois. Mais est-ce qu’il … - Tu pars ? » grogna-t-il.
Un sourire mutin aux lèvres, elle salua le barman d’un signe de la tête, avant de quitter les lieux. La belle souffla légèrement, elle l’avait échappé bel. Ce genre de type mal attentionnés pouvaient se révéler être de véritables crétins, et elle avait donc opté pour la solution qui lui paraissait la plus pondérée ; partir en vitesse. Enfourchant la femme de sa vie, sa moto, Erin mit le contact. C’était parti. Arpentant les chemins terreux à vive allure, elle ne prit cependant pas la peine de jeter un œil aux vitesses. Avec cinq verres de vodka dans le corps, elle avait les idées ailleurs. Elle était lucide, mais plus inconsciente. Ni casque, ni blouson de cuir. Seulement sa bonne étoile. A dix-sept ans, la vie lui paraissait plus que tout être un jeu, et l’idée même de dangers potentiels ne l’effleurait jamais. Puis soudain, des sirènes de police. Fronçant légèrement les sourcils, elle lança un regard maussade derrière elle, avant de se ranger sur le côté.
« Frak. La poisse. » maugréa-t-elle en voyant un officier s’avancer vers elle. L’œil critique, il l’observa un instant. L’autre homme, resté dans le véhicule, était armé de son téléphone portable. Cela prenait une tournure qui plaisait de moins en moins à Erin.
« Que puis-je faire pour vous, monsieur l’agent ? » se hasarda-t-elle, avec son habituel sourire innocent. Il roula ses yeux, il soupira. Rien ne servait de l’amadouer.
« En voiture, mademoiselle. »
Et quelques instants plus tard, l’étudiante arriva au commissariat de Salvation. L’homme qui l’avait accosté sur le bas côté de la route la fit entrer. Elle salua les officiers présent d’un signe de la tête, alors que l’homme derrière la pressait d’avancer. Il lui indiqua un bureau du doigt, et le belle se déposa sur la chaise de bureau. Attrapant machinalement un bic qui siégeait dans un des pots, Erin le fixa un instant, les sourcils froncés. Le faisant glisser entre ses doigts, elle observait l’objet avec attention. La porte claqua.
« Erin Sinclair. Dix-sept ans. Minnesota. » clama haut et fort l’homme qui venait d’entrer dans la pièce. Il ressemblait moins à un tyran en tout cas. Il avait l’air nettement plus jeune, plus convivial. Moins flic en somme.
« Conduite en état d’ébriété. Pas de casque. » enchaîna-t-il.
« Pas de veste, excès de vitesse. » continua Erin, sur le même ton. Mais le regard qu’il lui lança, à mi-chemin entre le désespoir et la stupéfaction, l’incita à se taire. Au lieu d’essayer de se défendre, la demoiselle ajoutait des arguments à sa mauvaise conduite. Elle soupira.
« Vous avez bu, mademoiselle Sinclair ? » questionna-t-il simplement.
Le sourcil arqué, elle observa un instant le policier. Elle leva une main, et plaça l’autre sur sa poitrine. L’air grave, elle se racla doucement la gorge, avant de fixer l’homme.
« Je jure de dire la vérité. J’ai bu MAIS je ne suis pas ivre. »
L’officier soupira. Et bien qu’il avait les résultats du test d’alcoolémie, il ne pouvait nier qu’elle ne présentait, en apparence, aucun signe d’une personne saoul. Hormis le fait qu’elle avait le don d’être insupportablement insolente, mais ce, même sobre.
« Vous auriez pu tuer quelqu’un. Vous auriez pu vous tuer. » conclut-il finalement, prenant le même air relâche qu’elle. Elle haussa passivement les épaules, et détourna son regard. Le plus embêtant c’est qu’il avait raison. Et ça, c’était inconcevable.
« Va t’asseoir, je vais essayer. »
L’officier et l’étudiante tournèrent tous les deux la tête vers le seuil de la porte. Une frêle silhouette se dessina. De taille moyenne, la jeune femme arborait un vague sourire, ainsi qu’une abondante chevelure blonde. Elle avait beaucoup de classe, et un ton doux. Mais vu la manière dont elle était vêtue, elle ne devait pas travailler ici. L’officier s’avança, avant de déposer un baiser sur ses lèvres, et de quitter la pièce. Erin grimaça.
« Vous allez essayer ? De me faire avouer un crime que je n’ai pas commis ? »
Avec tous ces films qu’elle avait pu voir, la demoiselle se faisait les pires scénarios.
« Essayer de te faire comprendre que tu adoptes une conduite dangereuse. » conclut finalement la jeune femme. Erin fronça légèrement les sourcils. C’était la soirée où ils se réunissaient pour lui faire la moral ? Quelle veine. Son visage se radoucit.
« Vous êtes mariés ? » questionna-t-elle en toute discrétion, un sourire impatient aux lèvres. Elle adorait les histoires de mariage. Mais pas les histoires d’agents de police.
« Donovan et moi ? Oh que non. »
Un sourire mutin aux lèvres, Erin prit l’air intéressé d’un enfant de dix ans.
« Donovan. »
« Je voulais dire, l’officier Graham. » reprit la jeune femme. L’étudiante ne put réprimer un sourire amusé. Les histoires d’amour, c’était chouette aussi. Quoi qu’elle s’éloignait du sujet principal ; son emprisonnement à vie dans ce lieu qui pourrait déstabiliser un tueur en série. Ces officiers avaient tout du type de l’agent de police barbant. Sauf Donovan. Enfin, l’officier Graham. Il avait l’air moins pompeux
« Dites. Vous allez me garder ici toute la nuit ? »
« Ca dépend de toi, ma grande. » répliqua doucement la jeune femme.
Erin soupira. Cela faisait deux longues années qu’elle avait droit, venant de tous, des leçons de moral sur son immaturité. Et finalement, ils avaient peut-être raison.
« Je serai plus prudente à l’avenir. »
« Tu me le jures ? »
L’étudiante afficha un sourire enfantin, bien qu’un peu moqueur.
« Promis, maman. » conclut-elle.
La jeune femme se releva, invitant Erin à en faire de même. Lui indiquant la sortie avec un sourire chaleureux, l’étudiante fronça tout de même les sourcils, étonnée.
« Et Donovan ? Enfin, l’officier Graham. »
« Tu n’es pas une criminelle. Et puis, j’ai ta promesse. » assura la jeune femme.
Erin afficha un mince sourire, avant de se diriger vers la sortie. Elle ne manqua d’ailleurs pas de montrer sa langue à l’un des policiers qui l’avait arrêtée un peu plus tôt. Faisant une courbette, Erin ne manqua pas de joindre ses mains comme pour remercier l’assemblée de la laisser repartir. Ils devraient la détester prochainement. Les deux blondes sortirent finalement du commissariat. D’ailleurs, toutes deux semblèrent soulagées. Ces commissariats, un enfer sur terre. La jeune femme stoppa sa cadence.
« Je vais t’avouer quelque chose ; je déteste cet endroit … ? »
« Erin. Erin Sinclair. Dix-sept ans. Minnesota. » répondit du tac au tac l’adolescente, un sourire mutin aux lèvres. Ici, elle serait dorénavant reconnue comme la délinquante du Minnesota. Chouette image. Chouette endroit en fait.
« Juliet. Juliet Dashwood. »
Erin dodelina légèrement la tête, avant d’enfourcher à nouveau la moto que l’un des officiers avait pris soin de ramener ici, sans aucun mal. Le prochain qui y toucherait était un agent de police mort. Si on touchait cette moto, on signait son arrêt de mort. | |
| | | Erin Sinclair I said frak. So what ?
Nombre de messages : 151 Age : 33 Mood : Oh, frak ! Occupation : Recherche sa voie & Pot de colle. Adresse : N244, Fisher Road. Date d'inscription : 27/10/2007
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| Sujet: Re: Erin Sinclair Sam 27 Oct - 21:36 | |
| • Anecdote de la Vie Actuelle : Le doux ronronnement qu’émettait cette moto lui était si familière. Cet engin représentait une vie de dures labeurs, et était sans doute la sœur qu’elle n’avait jamais eu. Ou alors un fantasme inassouvi sur la gente féminine, mais cela était moins probable. Pourtant, dans la région, on ne connaissait pas Erin sans sa moto, et inversement. Alors que les freins crissèrent légèrement, la belle se rangea sur le bas côté de la route, ôtant alors son casque. Il est vrai que les simples lumières de la nuit et une légère brise avaient vite fait d’ébouriffer ses cheveux, qui ressemblèrent davantage à une publicité novatrice. Cela faisait maintenant cinq années qu’Erin avait opté pour un casque. Certes elle perdait une partie certaine de son charisme et de sa séduction, mais elle évitait dès lors d’attiser le danger, voire provoquer la mort elle-même. L’étudiante se souvenait de ce soir où elle avait pris la résolution d’être moins fougueuse. Elle pensait présentement à Juliet, qui l’avait assez incité à grandir, à perdre cette immaturité. Etrangement, lorsque le prénom de Juliet lui était évoqué, la belle se rendait compte qu’elle avait l’estomac dans les talons. Un rapprochement spécial, mais elle le comprenait plus que quiconque. D’ailleurs, cela faisait quelques jours qu’elle n’avait pas eu de nouvelles de cette dernière. Et en amie respectable et aimant, elle se devait d’y remédier, et d’intervenir bruyamment, histoire de pimenter sa soirée. C’était l’heure du repas. Chance fortuite, tant mieux.
Wolf Road, cette ferme dans la cambrousse qu’elle ne connaissait que trop bien. Et lorsqu’elle remarqua les lumières qui dansaient à travers les carreaux et les rideaux, un sourire mutin se dessina sur son visage. Cela signifiait qu’il y avait au moins une personne dans cette maison, et qu’il y avait par conséquent à manger. Il était certes dix heures passées, mais Erin n’avait pas pris pour habitude de se fixer des horaires pour manger, hormis ceux que lui imposait l’université. La moto laissée près du sentier, la demoiselle se hissa discrètement jusqu’à la porte, où elle tapa trois fois. Trois sons mélodieux dont elle gardait le secret. Juliet devait donc savoir qui venait frapper à sa porte à une heure aussi tardive. Dans l’entrebâillement de la porte, Erin reconnut son amie, et ne prit pas un seconde de plus pour entrer, un sourire vif accroché aux lèvres.
« C’est toujours un plaisir de te voir ! » clama-t-elle, écartant les bras d’un air magistral. Alors que Juliet refermait délicatement la porte, car elle faisait tout avec une douceur extrême, elle se tourna vers Erin, le sourcil droit arqué. Captée.
« Heureusement que je cuisine un peu trop, parfois. » rétorqua la jeune femme.
Erin prit alors une moue faussement vexée. Les sourcils légèrement froncés, elle plaça ses mains sur sa taille, prenant une expression des plus étonnées. Fixant un instant Juliet, elle secoua passivement la tête, soupirant légèrement. Puis, levant les bras vers le ciel, elle manqua d’injurier le plafond, mais retint un nouveau « Frak » pour la journée.
« Je n’ai plus le droit de prendre des nouvelles de ma Juliet préférée ? » lâcha-t-elle finalement, avant d’afficher un sourire impatient. Ses yeux pétillaient, comme à son habitude. Mais une lueur spéciale embaumait ses prunelles. Cette même lueur enfantine chaque fois qu’elle débarquait chez Juliet. « Je t’adore, toi. Je te l’ai déjà dit ? »
Juliet secoua passivement la tête. Tout comme Nate, Erin arrivait à s’immiscer avec un tas d’excuses bon marché, avec un objectif ; atteindre la cuisine, ni vu, ni connu. La belle fit une simple courbette, avant de se laisser lourdement tomber dans le canapé. Et au risque de surprendre Juliet, elle préférait discuter avant tout. La nourriture était un culte certain, mais Juliet passait avant tout. On savait Erin folle, pas véritable garce après tout.
« Ton officier de mari n’est pas là, chérie ? »
« Il travaille … » répondit Juliet, haussant les épaules. Et vu la manière dont elle en parlait, Erin comprenait que son horreur des commissariats ne s’estompait pas, que du contraire. Après tout, cette bande de machistes la prenaient pour une voleuse d’oranges.
« La routine, quoi. » conclut finalement la blondinette. Les sourcils froncés, elle s’empara du magasine qui siégeait sur la table basse. Ouvrant la revue au hasard, elle commença sa lecture, suivant du doigt les phrases qu’elle lisait. « FRAK ! »
Juliet rappliqua en vitesse, le visage incrédule. Il est vrai qu’elle s’attendait à tout avec Erin, mais là. Les sourcils froncés, on lisait la stupéfaction sur le visage de l’étudiante. Et avec tout le sérieux du monde, elle lui indiqua la photo du présent, un doigt décidé.
« On a revoté Bush. Le choc. »
Juliet soupira légèrement, avant qu’un sourire rayonnant ne se dessine sur le visage d’Erin. A chaque fois qu’elle voyait cet homme, elle songeait aux élections. Fraking frak. C’était tout ce à quoi ça lui faisait penser. Mais bon. Alors qu’un silence s’installa, Juliet s’approcha, le sourire aux lèvres. Erin releva doucement la tête, on la demandait.
« Si tu as faim … » Juliet n’eut ni le temps, ni le besoin de terminer sa phrase, que déjà Erin se retrouvait debout. Sur un signe militaire de la main, elle se dirigea vers la cuisine, faisant craquer les articulations de ses doigts, comme si elle se préparait à réaliser une action incroyable. Alors que les meubles de la cuisine lui apparaissaient plus clairement, elle remarqua avec stupeur qu’elle n’était pas seule. Tournant légèrement la tête, elle put voir une silhouette assis à table, visiblement en train de manger. Nate. Et par chance, il ne l’avait pas vu venir. A pas de loup, elle s’approcha de lui, avant d’approcher doucement sa bouche de son oreille. Elle patienta un instant. Maintenant.
« C’est bon ? » demanda-t-elle soudainement, alors que le jeune sursauta. Il lui lança un regard qui signifiait « Pourquoi me déranger quand je mange » ou le regard typique d’un Nate Dashwood à table. Il leva la tête vers elle, avant de la secouer légèrement.
« Ch’bon. Ch’est chaud. Ch’est … Hum. » balbutia-t-il, alors qu’Erin restait muette. Ca avait eu le mérite d’être clair, non ? Elle dodelina simplement la tête de haut en bas.
« Je prends ça pour un oui, chéri. » conclut-elle, avant de s’emparer d’une pâte dans son assiette. Il tenta de contester la bouche pleine, mais elle lui fit les gros yeux. Elle avala l’aliment, avant de le regarder en secouant la tête. « C’est pour ton bien. »
Sauf que l’un des biens les plus précieux de Nate était la nourriture, alors ça ou rien. Elle haussa les épaules, avant de s’asseoir sur le plan de travail de la cuisine. Et bizarrement, elle n’avait pas envie de pâtes. Affamée et chiante, soit. Elle s’empara d’une pomme, avant de la croquer à pleine dent. Nate la considéra un instant avant de soupirer.
« Sacrilège. Ces pâtes à la sauce tomates sont divines. » lâcha-t-il les yeux béats, avant de lancer un regard qui en disait long sur la pomme que tenait la demoiselle.
« Je préfère les macaronis de Juliet. Incomparables. Inégalables. »
« Je vois qu’on est d’accord. » conclut-il. « Ils sont incroyables ! »
Il est vrai qu’on arrivait difficilement à trouver une source intellectuelle dans leurs échanges. Mais lorsqu’il s’agissait de la cuisine de Juliet, on jugeait avec l’estomac et non avec la tête. Les mots savants au placard, les longs silence en disaient plus. | |
| | | Alessandro Finelli • Honey Buns
Nombre de messages : 351 Age : 32 Mood : { I hate Hailee. She's so unbearable } =D -Alessandro- Date d'inscription : 10/10/2007
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| | | | Erin Sinclair I said frak. So what ?
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| Sujet: Re: Erin Sinclair Sam 27 Oct - 21:46 | |
| Et pour de bon cette fois-ci | |
| | | Alessandro Finelli • Honey Buns
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| Sujet: Re: Erin Sinclair Sam 27 Oct - 21:47 | |
| Ma Drive-In Chérie Ah non mince c'est plus avec Draven *Enfin il pourrait réapparaître. Il me suffirait d'une idée d'évolution pour lui XD * Yeaaaaaaah | |
| | | Erin Sinclair I said frak. So what ?
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| Sujet: Re: Erin Sinclair Sam 27 Oct - 21:48 | |
| Faudra qu'Erin trouve un lien avec Alessandro parce que *baf* | |
| | | Alessandro Finelli • Honey Buns
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| Sujet: Re: Erin Sinclair Sam 27 Oct - 21:50 | |
| Il pourrait être son tuteur de je ne sais quoi Comme il est au FBI, qu'elle fait du droit | |
| | | Erin Sinclair I said frak. So what ?
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| | | | Juliet Graham | Untameable Woman |
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| Sujet: Re: Erin Sinclair Sam 27 Oct - 21:54 | |
| OMG YES YES YES Ma Meilleure Amiiiiiiiiiie | |
| | | Nathaniel Dashwood Admin |where do you keep your gun ?
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| Sujet: Re: Erin Sinclair Sam 27 Oct - 22:13 | |
| Y a pas à hésiter juste à valider. re-bienvenue Poulette je te préviens les macaronis c'est les miens | |
| | | Rain Harlowe Admin | The sweetest witch
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| Sujet: Re: Erin Sinclair Sam 27 Oct - 22:27 | |
| Saluuuuuuuuuuuuuuuut | |
| | | Gloria Isaacs
Nombre de messages : 159 Age : 35 Mood : Cold Occupation : Party Hunter Adresse : Middle Of Nowhere Date d'inscription : 19/10/2007
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| Sujet: Re: Erin Sinclair Sam 27 Oct - 23:57 | |
| | |
| | | Erin Sinclair I said frak. So what ?
Nombre de messages : 151 Age : 33 Mood : Oh, frak ! Occupation : Recherche sa voie & Pot de colle. Adresse : N244, Fisher Road. Date d'inscription : 27/10/2007
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| Sujet: Re: Erin Sinclair Sam 27 Oct - 23:58 | |
| BWOOOOOOOOOOOOOOOOOOOH :heart2: Oh faut que j'ai un lien avec toute la famille Dashwood moi | |
| | | Gloria Isaacs
Nombre de messages : 159 Age : 35 Mood : Cold Occupation : Party Hunter Adresse : Middle Of Nowhere Date d'inscription : 19/10/2007
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| Sujet: Re: Erin Sinclair Dim 28 Oct - 0:01 | |
| Ca marche pour moi :heartpink: Mais va falloir prendre un ticket pour avoir droit aux bons repas de Juliet maintenant (ah oui c'est vrai... je serai toujours la dernière servie ) | |
| | | Nathaniel Dashwood Admin |where do you keep your gun ?
Nombre de messages : 3517 Age : 39 Mood : So naughty =) Occupation : Chasseur Adresse : Moonlight Motel - CH 133 Date d'inscription : 23/02/2007
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| Sujet: Re: Erin Sinclair Dim 28 Oct - 0:27 | |
| j'suis prem's sur les macaronis moi Erin > j'crois qu'on a déjà un lien c'est toi qui diminue mes portions | |
| | | Erin Sinclair I said frak. So what ?
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| Sujet: Re: Erin Sinclair Dim 28 Oct - 11:24 | |
| Corpsie > J'te MP. Zaz > On fera la course, et le dernier à table aura rien du tout. Sauf si c'est Erin évidemment Par contre quand tu dis portions, tu parles de nourriture ? J'ai pas beaucoup dormi, j'suis extrêmement bête le matin | |
| | | Nathaniel Dashwood Admin |where do you keep your gun ?
Nombre de messages : 3517 Age : 39 Mood : So naughty =) Occupation : Chasseur Adresse : Moonlight Motel - CH 133 Date d'inscription : 23/02/2007
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| Sujet: Re: Erin Sinclair Dim 28 Oct - 12:52 | |
| Oui c'est bien ça. Quand tu t'invites il y a moins à manger | |
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| Sujet: Re: Erin Sinclair | |
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| | | | Erin Sinclair | |
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