Evangéline De Valombre

Identité :
Nom : Valombre (De)
Prénom(s) : Evangéline, Elisabetta, Athénaïs
Surnom(s)*: Eva
Âge : 18 ans
Date de naissance : 29 Février
Lieu de naissance : Oradour-sur-Glane
Nationalité : France
Occupation : Bibliothécaire

Psychologie :

Plus grande qualité : Eva est sûrement la gentillesse incarnée. Elle fait tout ce qu'elle peut pour faciliter la vie des autres, et pourquoi pas les rendre heureux. Elle n'aime pas voir des gens de son entourage tristes. Elle aime la vie, vivre pleinement est très important pour elle. Elle essaie de savourer chaque instant. Malgré tout, elle est très calme est pondérée, ce n'est pas une boule d'énergie. Elle a juste ce qu'il faut. Sa bonne humeur est comme un rayon de soleil. Elle sourit tout le temps. Elle aime passer du temps entre amis, ou encore prendre le temps de faire la connaissance de nouvelles personnes. Elle est ouverte à tout, et n'a absolument aucun préjugés. Elle prend les gens comme ils viennent, tout simplement. Elle est généreuse et charitable. Elle fait même partie de plusieurs associations. Elle fait beaucoup de sport, et court tous les jours pour s'entretenir. Mais elle aime aussi lire, ce qui occupe une bonne partie de sa journée. Elle est très cultivée, aussi est-ce un véritable plaisir de tenir une discution avec elle. Elle a beaucoup d'esprit. Elle est aussi très facile à vivre, elle n'a besoin que de bonne humeur et de livres, le reste… elle le prend comme il vient.

Plus grand défaut : Elle est peut-être trop rêveuse, trop déconnectée de la réalité par moment. Elle a beau être en communion avec les gens qui l'entourent parfois, elle préfère rester seule, et prendre le temps de réfléchir sur certaines choses. Elle peut parfois se montrer réservée, et trop timide. Elle travaille justement là-dessus pour arriver à se décoincer, à se libérer. Elle peut avoir aussi par moment un comportement plutôt déconcertant… Elle est plutôt versatile. Les gens ne s'en rendent pas compte la plupart du temps, car il faut la côtoyer au quotidien pour pouvoir en juger. Elle est d'humeur très changeante, et est peut-être trop sentimentale. Ses sentiments peuvent parfois la noyer, elle ne les contrôle pas, elle ne fait que les subir.

Manies : Elle se regarde toujours les ongles quand elle chercher à se souvenir de quelque chose. Elle a aussi tendance à se masser l'intérieur de la paume gauche avec le pouce droit. Elle se mord la lèvre inférieure quand elle est angoissée, et lève souvent les yeux au ciel. Ca peut paraître anodin, mais c'est devenu une manie. Avant de lire un livre, elle le sent toujours en faisant voleter les pages devant son visage. Elle aime beaucoup l'odeur de la poussière, et de ce que l'on appelle "le vieux".

Nouvelles habitudes survenues : Tous les matins, elle se lève enfin le soleil. Sortant de chez elle, elle attend patiemment que ce dernier se lève. Puis le soir, il lui arrive de passer une heure ou deux après la tombée de la nuit et, le regard fixé sur l'orient, elle semble attendre quelque chose. Mais voyant que rien ne se passe, elle rentre et va se coucher. A chaque fois qu'elle passe devant une fleur, pour une raison ou une autre, il faut qu'elle la sente, qu'elle respire sa fragrance. Il lui arrive aussi parfois de s'arrêter en plein milieu d'une route, totalement perdue, le regard aux aguets. Puis, elle oublie, et se remet en marche. Elle fait aussi souvent le même rêve, elle revoie cette étrange soirée, et cette petite fille, l'enfant de la nuit. Le médaillon lui apparaît alors lumineux puis disparaît derrière un nuage de fumée.

***

Première chose qu'il/elle fait le matin : Le matin, elle se lève avant le soleil, et sort pour sentir les premiers rayons sur sa peau. Puis, après avoir contemplé le ciel, elle rentre et déjeune. La plupart du temps, elle boit du lait froid et trempe des biscuits secs dans ce dernier. Puis, elle va se laver, elle se brosse longuement les cheveux, et se contemple dans le miroir. Parfois, il lui arrive de perdre pied, elle semble se noyer dans son propre reflet..

Puis partant à pied pour la bibliothèque, elle se rend à son travail.

Ce qu'il/elle fait à la pause déjeuner : Elle s'arrête de travailler, et elle mange. Car logiquement c'est ce que fond toute les personnes normalement constituées, et qui ont un emploi du temps qui leur permette de se mettre quelque chose sous la dent. Donc, je disais qu'elle prenait son déjeuné. La plupart du temps elle manga équilibré et emporte son repas au boulot, car elle n'a pas envie de rentrer chez elle, juste pour manger. Mais bon, ça varie. Il ne s'agit pas là d'un robot qui suit à la lettre le plan de route. Il lui arrive de se permettre quelques fantaisies..

Sa soirée type :

Tranquille, avec un bon livre, et un bol de lait. Ce n'est pas qu'elle n'aime pas faire la fête, au contraire, mais elle préfère tout de même le calme, et ses livres, à la folie hystérique d'une boîte de nuit. La lumière ne doit être ni trop faible ni trop forte, un juste milieu convenable. Il doit y avoir de la musique, douce si possible…
Le livre… quant à lui, il n'a pas de thème défini. Quand au lait, il doit être froid, demi écrémé, et servi dans un bol avec une anse…

Contenu de son sac à main : Elle garde toujours dans son sac à main : son portable, les clés de sa maison, un stick à lèvre, une brosse, son porte-monnaie, quelques bonbons au caramel, et un miroir. Il y a aussi son "porte-bonheur" : une chaîne en argent assez ancienne, à l'intérieure de laquelle se trouvent deux photos, l'une est de sa grand-mère, l'autre de son grand-père. La deuxième est recouverte d'une couche de poussière qui semble venir de l'intérieur, l'espace dans laquelle la photo se trouve étant vitrifié.

Contenu de sa table de chevet : Il est souvent recouvert ou plein de livres… Quatre ou cinq la plupart du temps. Eva aime lire, c'est un fait. Il y a aussi une photo de ses parents, et une autre de ses grands-parents. Il y a aussi la plupart du temps, un paquet de mouchoirs, et un pulvérisateur nasal car mademoiselle a souvent tendance à tomber malade.

Contenu de son réfrigérateur : Dans son réfrigérateur… il y a deux bouteilles de lait, des yaourts à n'en plus finir, des tomates, beaucoup de tomates… de la salade, du beurre, du fromage en tranche, du jambon, une bouteille d'eau gazeuse, et une autre de jus de tomate, de la viande crue, des pâtes fraîches, et des antibiotiques quand elle est malade.

Contenu de son armoire à pharmacie : Hmm.. Des bandes, de l'homéopathie encore et encore, du coton, du coagulant, de l'aspirine, des calmants, des métabloquants (elle se drogue… si on peut utiliser ce terme), de multiples sirop contre la taux, du désinfectant, des compresses..

Goûts :

Couleur préférée : Elle aime bien le vert pâle, comme dilué dans de l'eau, elle-même trouble. Le blanc aussi, est une couleur qu'elle apprécie.

Plat préféré : Elle apprécie beaucoup les tripes à la mode de Caen, c'était d'ailleurs aussi le plat préféré de son père. Sa grand-mère le faisait souvent les Dimanche où la famille se rendait à Oradour pour se réunir.

Chanson préférée : Cette chanson, rengaine de son enfance, elle n'en connaît pas le titre exacte, mais elle se souvient que sa grand-mère chantait souvent cette chanson, les soirs d'été, installée au fond de son siège, le regard fixé sur l'orient.. Litanie. Imploration. Pleurs étouffés, dissimulés derrière des paroles qu'une enfant ne pouvait alors comprendre le sens exact.

Livre préféré : Elle aime beaucoup les hauts de Hurlevent, ce qui a toujours été un classique. Elle n'a cessait de l'aime depuis le jour où elle a déposé ses yeux dessus, elle devait alors être âgée de treize ans. Une aventure extraordinaire, et particulièrement bouleversante. Cet amour l'avait toujours laissée rêveuse et insatisfaite. Elle apprécie aussi énormément l'Ecume des jours, de Borris Vian, dans un autre genre.

Film préféré : Eva n'est pas vraiment amatrice de films. Elle ne regarde d'ailleurs que très rarement la télévision, et ne va jamais au cinéma. Elle n'a donc aucun film préféré, rien qui ne l'ait marquée.

Histoire :

Parents : Mes parents tels que je m'en souviens ont toujours été bons, et d'une extrême gentillesse. Ils n'étaient ni trop durs, ni trop mous. Je les aimais beaucoup, et je suppose que c'en était de même pour eux car j'étais leur seule et unique fille.

Ils étaient fermes pour certaines choses, mais pas pour toutes. Je devais rester polie, droite, courtoise, et ouverte sur le monde. C'est peut-être pour cela que la télévision a été pratiquement proscrite de mon éducation. Je la regardais de temps en temps, mais ça s'arrêtait là. Mes parents me firent découvrir les livres, j'en étais extrêmement heureuse. Mon père voulait toujours, pour reprendre ce que je disais précédemment, que je reste ouverte à tout. J'étais à la fois sportive, intellectuelle, et mes connaissances n'avaient d'égales que les siennes. C'était un jeu entre nous, à celui qui saurait le plus de chose. Il m'apprit énormément, son éducation était stricte mais pleine d'amour et d'affection. J'avais tout ce que je désirais du moment que je convenais à ses attentes.

Ma mère, elle, était la douceur incarnée. Elle était toujours la pour me prendre dans mes bras et me réconforter. Elle m'aimait tellement que parfois j'avais l'impression d'étouffer de tout cet amour. Je sais bien que l'amour inquiet des parents n'empêche la liberté, mais j'avais que parfois il m'arrivait d'en douter.

Ils ont toujours été là pour moi. Et cette présence me manque encore aujourd'hui. Cette chaleur maternelle, et cette complicité paternelle, me font énormément défaut. Je regrette leur disparition. Et même si j'ai grandi, j'ai encore aujourd'hui du mal à m'en remettre, c'est ainsi.

Histoire :

Parents : Mes parents tels que je m'en souviens ont toujours été bons, et d'une extrême gentillesse. Ils n'étaient ni trop durs, ni trop mous. Je les aimais beaucoup, et je suppose que c'en était de même pour eux car j'étais leur seule et unique fille.
Ils étaient fermes pour certaines choses, mais pas pour toutes. Je devais rester polie, droite, courtoise, et ouverte sur le monde. C'est peut-être pour cela que la télévision a été pratiquement proscrite de mon éducation. Je la regardais de temps en temps, mais ça s'arrêtait là. Mes parents me firent découvrir les livres, j'en étais extrêmement heureuse. Mon père voulait toujours, pour reprendre ce que je disais précédemment, que je reste ouverte à tout. J'étais à la fois sportive, intellectuelle, et mes connaissances n'avaient d'égales que les siennes. C'était un jeu entre nous, à celui qui saurait le plus de chose. Il m'apprit énormément, son éducation était stricte mais pleine d'amour et d'affection. J'avais tout ce que je désirais du moment que je convenais à ses attentes.
Ma mère, elle, était la douceur incarnée. Elle était toujours la pour me prendre dans mes bras et me réconforter. Elle m'aimait tellement que parfois j'avais l'impression d'étouffer de tout cet amour. Je sais bien que l'amour inquiet des parents n'empêche la liberté, mais j'avais que parfois il m'arrivait d'en douter.
Ils ont toujours été là pour moi. Et cette présence me manque encore aujourd'hui. Cette chaleur maternelle, et cette complicité paternelle, me font énormément défaut. Je regrette leur disparition. Et même si j'ai grandi, j'ai encore aujourd'hui du mal à m'en remettre, c'est ainsi.

Anecdote(s) de l'enfance :
La nuit était tombée, je m'en rappelle aujourd'hui… Le soleil avait disparu, et j'avais l'impression étrange qu'il ne réapparaîtrait jamais, prisonnier des ténèbres. J'avais alors huit ans, le regard malicieux, et cette vision du monde que les enfants ont toujours. Rien ne me faisait peur.. Ni le froid, ni la nuit, ni cette rengaine lointaine et plaintive.

Pourquoi étais-je sortit encore ? Je ne m'en souviens guère.

J'aimais beaucoup Oradour-sur-glane, le village où je suis née. La France… La maison de ma grand-mère était bien le lieu que je préférai entre tous. J'y apprenais toujours quelque chose. Son antre était chaud, douillet, confortable. Mais ce soir-là, la fraîcheur de la nuit, et la pénombre du jardin s'étendant derrière le manoir- ainsi que l'appelaient les gens de ma famille, me laissaient plutôt perplexe, et je ne reconnaissais plus ce lieu, dans lequel j'avais, l'après-midi même, fait des cabrioles avec mes chers cousins. La lumière me manquait. Pourtant je continuais d'avancer. Pourquoi ? Je ne sais plus. Je me sentais comme attirée vers un point encore indéfini. Une ombre, cette rengaine. Je retins mon souffle. Le vent me poussait, caressait mon dos. J'avançai.
Je fermai les yeux, et hésitai un instant à appeler de l'aide. Ma fierté m'en empêcha. Je me retournai et vit la demeure, cette demeure qui me semblait en cette instant précis être un fantôme. Car je ne voyais qu'une ombre floue, masse sombre impénétrable.

Je me laissai tomber dans l'herbe.

Ma tête heurta le sol. Je levai alors les yeux au ciel. Une douleur. Je me roulai sur le côté. Mon regard vint à croiser la balançoire. Le siège dansait, allait d'avant en arrière… Je m'appuyai sur mes mains et me redressai fébrilement. Je m'approchai de la balançoire. En cet instant, ce que je me demandai le plus était pourquoi le siège bougeait. Le vent n'était pas tel qu'il pouvait le pousser. C'est alors que je vis cette ombre claire, pas comme celle du manoir, non, blanche, et d'une clarté éblouissante. L'enfant de la nuit.. Je tremblai. Elle portait autour de son cou un médaillon en argent, paraissant nettement plus réel qu'elle.
Je ne sais pas pourquoi je restai là sans bouger, peut-être était-ce la seule chose que je pouvais faire en cet instant. J'étais parfaitement calme, bien que déconcertée. Les enfants ne craignent pas les apparitions, je suis à même de le dire. Ils sont plutôt attirés… Car j'avais réellement envie d'approcher cette petite fille. Mais quand je fis cela, elle désigna une fenêtre du manoir du doigt et disparut. Le médaillon, réel c'est certain, heurta le bois du siège, et tomba dans l'herbe. A tâtons, je me dirigeai vers ce dernier et la ramassai. Là, je me retournai vers le manoir, et jetai un bref coup d'œil vers la façade, cherchant du regard la fenêtre que l'enfant de la nuit avait désigné. C'était la chambre de ma grand-mère… A cette heure-ci, elle devait bien dormir. C'est alors que je décidai de rentrer. J'avais froid, et ces évènements avaient eu l'effet de me chamboulée. Je me sentis perdue, seule, triste, et je ne sais pourquoi angoissée…
Etait-ce un rêve, ou bien la réalité… ? Je n'en sais toujours rien. Ce que je sais par contre, c'est qu'après avoir passé la porte de la maison je ne me rappelle plus de rien. Mais le matin quand je me réveillai, le médaillon se trouvait dans ma main.

Anecdote(s) de l'adolescence :
Ce fut sûrement la pire journée de toute ma vie, et aussi la plus étrange. Je ne m'en souviens d'ailleurs que par bribes, et bien des choses restent dans la confusion. C'est comme s'il ne s'agissait que d'un rêve, et pourtant cela c'est réellement produit…
C'était l'hiver de mes quinze ans, un hiver froid et vigoureux. Mes parents et moi étions partis pour tenir compagnie à ma grand-mère pour le réveillon de Noël. Nous n'aimions pas la laisser seule, ces jours de fête. Alors nous faisions le voyage Tennessee Oradour-sur-Glane. Car en ce temps là, j'avais déjà déménagé en Amérique ; mon père avait eu une promotion, et tout le reste de la famille avait suivi.
La nuit était tombée, et je crois qu'il était à peu près minuit. Je descendis les escaliers, et me dirigeai vers la cuisine dans l'intention de me servir un verre d'eau. J'avais plutôt soif. J'ai bu et m'apprêtai à remonter quand j'entendis du bruit, cela venait certainement du premier étage – il y a avait quatre avec le grenier, et mes parents dormaient au troisième. Je me précipitai dans les escaliers, montant les marches quatre à quatre. Le bruit était toujours présent, et je compris que cela venait de la chambre de ma grand-mère. Je me ruai vers la porte sa chambre, et l'ouvrit. L'instant d'un instant je ne put plus bouger le moindre de mes bras, et je me sentis défaillir. Ce spectacle était des plus étrange, et je dirai même différent. J'étais arrivée à un âge où ce genre de choses nous semble totalement invraisemblable.
Un halo sombre, un nuage noir, surplombait le lit de ma grand-mère, qui semblait agoniser étouffée par des cris et des larmes brûlantes. Son corps tremblait, elle avait des spasmes. Les traits de son visage semblaient taillés dans un masque d'horreur et de souffrance. Je sentais la mort planer dans cette pièce. Le vent soufflait avec fureur dehors, et les branches de notre arbre tapaient avec violence contre la fenêtre de la chambre. Je me décomposais sur place, pendant que ma grand-mère poussait ses derniers soupirs. Je tombai sur le parquet et mis à hurler comme jamais je ne l'avais fait. Mes parents accoururent, trop tard… Elle était morte. Il recouvrir le corps d'un drap blanc, et me chuchotant d'aller me recoucher pour le moment, je leur dis vouloir rester encore un peu. Je me sentais extrêmement mal, mais je ne sais pourquoi, une image me revint soudainement à l'esprit. La balançoire… l'ombre, puis cette étrange lumière semblant directement émaner de l'enfant de la nuit, puis le médaillon.

Je tremblai.

Je m'approchai à tâtons de la fenêtre et jetai un coup d'œil au jardin. Je m'arrêtai soudainement de respirer. La fillette était là, se balançant. Puis m'apercevant, elle se dégagea du siège en bois, et fit quelques pas, pointant son doigt vers moi. Je reculai, encore, encore, encore… jusqu'à ce que je ne puisse plus la voir. C'est alors que je remontai, et partis rejoindre mes parents…
Je fus incapable de dormir cette nuit-là, les autres non plus d'ailleurs, car cette fillette me hantait jour et nuit. Je fis beaucoup de rêves depuis…

Anecdote(s) de la vie actuelle :
Après la mort de sa grand-mère, puis celle de ses parents deux ans plus tard, Eva s'est retrouvée seule, mais possédant un héritage assez impressionnant. Elle décida alors de vivre seule, et de continuer ses études. Elle voulait être bibliothécaire rien d'autre. Retournant une dernière fois à Oradour, elle ferme la demeure, et respire une dernière fois els douces années de son enfance. C'est même peut-être durant ce moment qu'elle fut possédée par l'esprit de sa grand-mère…
J'étais vraiment contente de pouvoir vivre seule. Mes parents me manquaient, c'était certain, amis j'aspirais à ma nouvelle liberté. Néanmoins, les choses prenaient une tournure étrange, les cauchemars s'accumulaient, et j'avais la vague impression de devenir folle. Parfois j'avais l'impression que mon reflet se mouvait dans le miroir. Et mes centres d'intérêts semblaient varier au fil des jours. Je ne comprenais pas ce qu'il se passait, mais au fond je me disais que cela n'avait que très peu d'importance.
Le jour de mes 18 ans, je décidai de changer de demeure de prendre un nouveau départ. La ville où j'avais passé mon adolescence semblait devenir étouffante. J'avais envie de revenir aux sources, néanmoins, il était hors de question que je retourne à Oradour pour le moment. Et sans trop savoir pourquoi, à chaque fois que je me disais cela, je sentais mon cœur se resserrer toujours plus. J'avais l'impression d'avoir oublié quelque chose là-bas, mais quoi… ? Je n'aurais pas pu répondre à cette question moi-même.

Au final, j'optais pour salvation, je ne connaissais cette bourgade ni d'Eve ni d'Adam, mais à l'oreille le nom me plaisait bien.

Le jour de mon départ, je m'arrêtai en plein milieu de l'autoroute et fis demi-tour. Non, je ne suis pas folle. Mais c'était comme si je ne pouvais plus rien contrôler, mes membres étaient leur propre maître et je me mis à paniquer. J'arrivai de justesse à me mettre sur le bas côté. Là, je me jeta sur le sol, et commençai à pleurer comme jamais je ne l'avais fait. Je ne comprenais plus. C'était comme s'y quelqu'un d'autre tirer les ficelles, comme si je n'étais plus qu'un simple pantin. Je repris la route, sans embûche cette fois-ci. Mais quelque chose semblait me ronger de l'intérieur. Je devenais folle. J'essayai de changer d'air, mais des images incontrôlées apparaissaient les unes après les autres dans ma tête, toujours sans que je ne contrôle rien. Je revoyais le manoir, le jardin, la balançoire, la fillette, le médaillon, -qui était à cet instant autour de mon cou, la chambre de ma grand-mère, et toutes les fois où j'avais failli faire un arrêt cardiaque tellement j'avais eu peur. J'arrivai.

Possession :
Œuvre inachevée :
Evangéline est possédée par l'esprit de sa grand-mère. Il n'est aucunement question de vengeance, il veut juste accomplir une dernière action.
La grand-mère, Louise, faisait partie d'une famille juive. Elle habitait alors à Paris et avait une sœur jumelle prénommée Angèle. Toute la famille avait élu domicile dans une demeure en banlieue, un joli petit manoir. La famille était plutôt aisée, le père étant médecin.
Lors de la deuxième guerre mondiale, cette famille fut l'une des premières touchées par l'antisémitisme, et la politique d'Hitler s'étendant peu à peu sur la France. Ils avaient cru pouvoir en réchapper, néanmoins, ils avaient tord. La père et Angèle furent envoyés à Treblinka, puis tués. La mère et Louise partirent dans le Sud et firent reconstruire le manoir à Oradour-sur-Glane, à l'identique de celui qui se trouvait dans la banlieue parisienne.
Le médaillon qu'Eva à récupérer est celui que la mère de Louise à donner à son père avant de partir. Angèle voulait le rendre à sa sœur, mais ne pouvait pénétrer dans la demeure. Quand à Louise, elle devait rendre à sa sœur une poupée de chiffon pour laquelle elles s'étaient disputées avant l'arrestation d'Angèle. Elle s'en ait toujours voulu après sa disparition…
Il faudrait donc pour que Louise trouve la paix, que sa petite-fille se rende à Oradour-sur-glane, rentre dans le manoir, et retrouve dissimulé dans un des nombreux tiroirs de la demeure la poupées de chiffon, et qu'elle la donne à Angèle, la fillette hantant toujours le jardin de l'habitation.

Bienvenue demoiselle ^^
Par contre je suis désolée mais la célébrité sur ton avatar est déjà prise. Wink

Bienvenue

Apparence :
Allure générale : Dans son ensemble, Eva inspire le calme, la douceur, la décontraction peut-être. Son visage est toujours souriant, et porte une expression d'extrême gentillesse. Elle pourrait presque ressembler à un ange… Elle est plutôt grande, certains diront élancée, car elle aussi très fine, bien qu'elle ne se prive pas. Elle adore manger c'est peut-être son péché mignon. Elle est très bien proportionnée, et malgré tout musclée. Son corps est souple, et plutôt agile. Ce n'est pas une gourde, elle sait se servir de ses mains comme de ses pieds.
Sa peau est de couleur claire, elle ne bronze jamais, elle attrape plutôt des coups de soleil, si bien qu'elle a depuis très longtemps cessé de s'exposer au soleil de peur de ressembler à une écrevisse.
Ses cheveux sont châtain clair, mais varie très souvent de couleur. Ca peut aller du blond en été, en brun en hiver. Cela suit les saisons. Son visage comme je l'ai déjà précédemment est d'une extrême douceur. Ses yeux sont grands et bleus, presque azur. Ses lèvres sont rosées et pulpeuses. Son nez est ni grand ni petit, dans la moyenne des tailles.
Ses mains sont petites mais très fines.

Style vestimentaire : Eva est plutôt bohème, elle aime les vêtements amples et colorés. Elle aime les rayures. Elle aime aussi les jeans. Comme chaussures, cela peut varier, mais la plupart du temps ces dernières sont plutôt grosses et sombres. Elle n'est pas très féminine. Par moment mais c'est rare. Elle ressemble plutôt à une lycéenne qu'à une femme. Elle a son propre style, et n'aime pas se référer aux autres dans ce domaine. Elle a toujours été très individualiste. Elle trouve que chacun a le droit de s'exprimer comme il l'entend.

Autres :

· Eva a bien souvent du mal à trouver le sommeil, même avant la possession. Sinon, elle met au moins, trente minutes avait de pouvoir fermé l'œil.
· Elle n'est pas souvent malade, elle semble immunisée. Il est rare, même en hiver, qu'elle tombe malade.
· Elle adore les animaux et possède elle-même un(e) Rottweiler, dénommé Pouffy.
· Elle est atteinte de la maladie de Gilbert, et fait de l'anémie.

Avatar : Ana Beatriz Barros
Précisez si vous êtes un joueur fille ou garçon : Fille
Comment avez vous connu le forum ? Arlington

Dernier morceau trop long apparemment ^^
Merci à vous deux , et l'avatar a été changé.
La fiche quant à elle, me semble terminée !

Alors tout d'abord, l'avatar est trop grand, il doit être de 200*320 pixels Wink

Ensuite je trouve que si tu prends Jessica Alba, 18ans c'est trop jeune, en plus si elle est bibliothécaire Neutral

De plus il te manque une catégorie à remplir parmi celles-ci (si j'ai bien compté elles ne sont qu'au nombre de 4 Laughing

) :

Ce qu'il/elle fait à la pause déjeuner : [ 4 lignes ]
Sa soirée type : [ 4 lignes ]
Contenu de son armoire à pharmacie :

Sinon le reste est parfait, c'est d'ailleurs rare de voir quelqu'un écrire à la première personne du singulier mais c'est sympa à lire et très original et ton histoire est passionnante Wink

C'est nickel je valide ^^.
Par contre il va falloir refaire ton avatar car il dépasse largement la limite autorisée.

Bienvenue parmi nous ! Very Happy

Hum okay j'ai rien dit alors, autant pour moi Mr.Green

Bouh on a posté presque en même temps et j'ai carrément pas vu ton message XD

Aubree > Tu avais raison il me manquait certaines parties, j'ai oublié de les rajouter par la suite. Quant à l'armoire à pharmacie, elle était encastrée dans la rubrique précédente, enfin bref... Je les ai rajouté ^^
Sinon, dix-huit ans, Jessica Alba et bibliothécaire ont du mal à coller ensemble... Je vais essayer d'y remédier.
Elle pourrait poursuivre ses études, et travailler en parallèle à la bibliothèque. Quant à Jessica, et bien je vais voir si je trouve une autre star ^^

Rain > Merci Very Happy

Non pour l'avatar c'est bon j'avais dit ça au tout début quand tu en avais mis un de Michelle si je me trompe pas. Jessica est pour toi Wink

.

Okay maintenant de toute façon c'est parfait ^^
Reste avec Jessica si tu le souhaites ça va Wink

Ah d'accord, mais j'pensais que si Aubree avait dit ça, c'était que Jessica faisait trop vieille, ou je ne sais quoi... Enfin bref.
Mais je crois que je vais tout de même changer Very Happy

, pour Ana Beatriz Barros, il me semble qu'elle ne soit pas encore prise.

Bon je crois que je me suis emmêlée les pinceaux je comprends plus trop ce qui se passe. Puisque tu as pris la fiche en main d’une certaine façon Lolote je te laisse continuer Laughing

.

Eva je te laisse entre les mains d’Aubree.

Parce que là... Evangéline De Valombre 80624

Entre mes mains ? Ahem

*air sadique d'admin* *baf* Mr.Green

Alors pour moi, oui je trouvais que Jessica faisait trop vieille pour 18ans mais bon c'est vrai qu'en y réfléchissant, maintenant dans les séries américaines, les ados ont en vérité 25ans dans la vie réelle alors bon ça peut le faire quand même Wink

si tu souhaites garder Jessica il n'y a pas de problème ^^ mais si tu veux vraiment changer pour Ana, c'est okay aussi, tu as juste à changer le nom dans ta fiche et l'apparence physique Wink

*on va y arriver on va y arriver Laughing

:*

Voilà ^^

C'est parfait, je change ça dans les avatars pris alors Wink