Rachael Sullivan

IDENTITE :

• Nom : SULLIVAN.
• Prénom(s) : Rachael.
• Surnom(s)*: Plusieurs petits surnoms peuvent être attribué à la jeune Rachael, le plus courant étant Rak’, ou si l’on considère que les écorchures sont des surnoms alors on peut affubler Rachael de Rachel, Reechal, etc..
• Âge : Elle vient de fêter ses vingt quatre printemps.
• Date de naissance : La demoiselle poussa son premier cris un Vingt Troisième jour de Mai.
• Lieu de naissance : C’est à Katmandou au Népal que naquit Rachael.
• Nationalité : Fruit d’un métissage variée, la jeune Sullivan est franco-américaine par son père et américano-népalaise par sa mère.
• Occupation : Rachael est étudiante depuis trois ans en éthologie (science du comportement des animaux, et surtout des prédateurs pour la jeune femme), par correspondance. Elle suit assidûment ses cours pour venir un jour une éthologue émérite.

PSYCHOLOGIE :

• Plus grande qualité : Rachael est une scientifique et se vante très souvent d’être une fine connaisseuse de la nature l’Homme. Des plus compréhensive, elle est la personnification même de l’épaule sur laquelle les gens peuvent venir pleurer en lui accordant une confiance aveugle quand au silence qu’elle gardera. Malgré son brin de folie et son comportement quelque puéril, Rachael s’avère être la personne la plus apte à donner des conseils. Alors qu’elle se montre des plus lunatiques et folles le reste du temps, elle sait faire la part des choses et devenir extrêmement calme et raisonnable. Ce contrôle d’elle-même vient très certainement de l’éducation Zen qu’elle reçut dès son plus jeune âge au Népal. Rationnelle et calme, elle se montre aussi des plus professionnelles lorsqu’il s’agit de son travail ou des recherches surnaturels. En effet, le simple fait qu’elle tente avec acharnement de comprendre et d’analyser les comportements des Hommes et des Animaux, elle cherche secrètement à rallier tout ceci au surnaturel qui l’entoure. Téméraire et extrêmement ouverte, elle aborde les gens avec un naturel avenant et sympathique qui font d’elle la personne que l’on n’oublie pas. Bonne amie, elle se montre toujours d’une gentillesse déconcertante et ceux, même avec les gens qu’elle connaît le moins. C’est une fille très saine, équilibrée, qui accorde à son mode de vie des règles draconienne, suivant des régimes particuliers et accordant donc à la religion hindouiste, dans laquelle elle a été bercée, une place des plus importantes dans la vie quotidienne.

• Plus grand défaut : Toujours la tête ailleurs, les vapeurs d’encens commencent à avoir raison de Rachael qui reste un peu trop souvent dans la lune, devant alors une tête en l’air de première. Capable d’oublier à peu près tout ce qui concerne sa vie privée (date de rendez-vous, code de carte, gaz dans la cuisine, lumière allumée, etc.,…). On ne peut donc pas parler de la jeune Sullivan sans mentionner donc son côté totalement décalé de la réalité, ce qui lui porte des fois de sérieux préjudices. Rachael a aussi tendance à parler beaucoup, pour ne rien dire. Capable de faire des comparaisons minables, des blagues salaces, bref, elle est toujours là pour – en un mot – plomber l’ambiance. Autre fait notable sur la jolie demoiselle, est son obsession permanente de vouloir toujours rester à analyser tout ce qui passe par un jugement scientifique. Paradoxalement à deux parties de sa personnalité qui sont la religion et le surnaturel dans mais restant pour autant très terre à terre en démontrant toujours que ces deux ‘phénomènes’ peuvent se démontrer scientifiquement comme n’importe quoi d’autres. Quelque peu solitaire aussi, bien qu’elle soit de nature sociable, elle n’aime pas être trop entourée, et préfère de loin resté tranquillement chez elle à travailler ou à cuisiner des nouilles Thaï ou des pelures de patates en chips. Rachael a aussi beaucoup de mal à faire la part des choses, très impulsive, elle dit ce qu’elle pense, sans artifice et va souvent au delà de grand déconvenue à cause de son indélicatesse.

• Manies : Petite binoclarde à ses heures, lorsque Rachael ne met pas ses lentilles, s’affublant de ses lunettes rondes, immenses, au verre de cul de bouteuille, et aux contours noirs épais, elle ne peut s’empêcher de renfrogner son petit nez, pour faire remonter les lunettes ou pour tentez de voir mieux. En générale, elle les met le soir, en travaillant, devant son ordinateur ou un livre. Elle les déteste et ne sort pratiquement jamais avec. Autres petites manies des plus comiques, Rachael adore parler de tout et de rien, inventer des maximes stupides, ou reprendre des proverbes asiatiques ou népalais. Elle ne jure pas, ou très peu, et si elle veut exprimer son mécontentement, ce sera en népalais ou en formulant un drôle d’insulte telle que « Nom d’une nouille pas cuite » ou « Sacré jambon en salopette ».

***

• Première chose qu'elle fait le matin :Les premières notes de la radio de son réveil s’échappe doucement, et Rachael s’étire. Ses journées commencent toujours à partir de 8h30 tapante, pas une minute de plus ni de moins. Elle s’étire, prends une douche, se traîne jusqu’à la cuisine, où la belle s’adonne alors à un copieux petit déjeuner, constitué de fruits, d’un chocolat chaud, un bol de céréales, des tartines, et…Du gruyère. Une particularité assez comique, car elle se déguste des petites lamelles de ce fromage en feuilletant un livre sur la génétique ou le comportement humain, avec passion. S’il y a bien un moment de la journée où il ne faut pas la déranger, c’est bel et bien le matin. Ensuite, direction de nouveau la salle de bain où un brossage de dent intensif l’attend pendant 3min20 chronomètre en main.

• Ce qu'elle fait à la pause déjeuner :Lorsque Rachael s’accord une petite pause, elle ne joue pas dans la demie mesure. Eduquée dans un environnement orientale où riz, pomme de terre et peu de viande sont de rigueur, la jeune Sullivan s’est très américanisé en découvrant avec surprise et plaisir les fast food, pizzeria, snack, et tous les dérivés des grandes lignes de commerces. Elle s’est découverte même une nouvelle passion, celle des plats à commander par téléphone. Le fait de téléphoner pour avoir son plat tout préparé dans sa maison l’a tellement impressionné et plus que depuis, il ne se passe pas une semaine sans qu’elle téléphone à un livreur. En générale, elle varie le plus possible dans la semaine, alternant plat népalais et plat américain.

• Sa soirée type : Rachael ne fait pas partie de cette jeunesse dorée qui passe la plupart de son temps à sortir dans les bars où à faire des soirées fofolles entre copines. Pas de petit ami non plus, sa vie solitaire résume ses soirée à elle, son thé à la menthe, ses livres, son ordinateur et son carnet où elle inscrit pleins de petites informations, des citations, des formules chimiques, des mots de toutes langues, bref tout ce qui lui passe par la tête ou qui tombe sous ses yeux. Elle adore aussi regarder la télévision et surtout les séries télévisées. Depuis qu’elle a découvert cette merveilleuse invention, elle passe sa vie à attendre les saisons de ses séries préférées. La petite demoiselle adore aussi écouter de la musique népalaise dans son lit, illuminant la pièce de plusieurs bougies et s’adonnant à une séance de yoga.

• Contenu de son sac à main :C’est une petite besace en cuir marron qui sert de sac à main à Rachael. Dedans, ce qu’on appelle le minimum syndical Mouchoir, argent, crayon et fidèle petit carnet. Aucune technologie tel que portable ou MP3, elle ne tolère que la télévision chez elle et bien sur son cher ordinateur qu’elle chérie. Mais de temps en temps, elle peut opter pour un sac à main tout à fait farfelu rouge vif, ou bien sortir sans rien, mains dans les poches, mais devant depuis quelque temps s’obliger à avoir ses papiers à cause d’un petit soucis qui lui est arrivé avec la police. Sans ses papiers, elle s’est faite arrêter et a eu le grand plaisir de séjourner en prison pendant vingt-quatre heures. En résumé, Rachael n’a aujourd’hui toujours pas réussi à se fondre dans la masse citadine et elle hésite toujours autant de prendre le bus ou un taxi.

• Contenu de sa table de chevet : Petite tablette en bois vernis aux encadres rouges pourpres, la table de chevet de Rachael est un des nombreux vestiges népalais qui orne son appartement. A l’intérieur, une flopé de vieux livres hindouistes, des bougies, de l’encens, un paquet de Pringles à l’oignon, et posé sur le dessus un petit bonzaï qu’elle a appelé affectueusement Julio (en roulant rien comme à l’espagnol) et une petit radio réveil qui projette dans un grand halo de lumière rouge, l’heure contre le mur. Amusée par cette technologie, elle a donc toujours l’heure en immense sur son mur. On peut aussi trouver sur le dessus un petit dictionnaire où elle s’y plonge chaque soir pour apprendre de nouveau. Une page de dictionnaire tout les soirs et elle tentera à coup sûr de caser un de ces mots dans une phrase le lendemain. Une habitude qu’elle a prise depuis qu’elle est toute petite. Protégeant la chambre, une petite statuette en bois exotique représentant Ganesh, le Dieu protecteur hindouiste.

• Contenu de son réfrigérateur : Organisée de façon très…original dirons nous, le réfrigérateur de Rachael offre un véritable spectacle de diversité culturelle. Ayant la chance de posséder son fidèle et grand frigo jaune vif, chaque étage représente un continent et sa culture. Ainsi, au premier étage nous trouverons les ingrédients Népalais, au second et troisième étage les plats préparés, légumes, fruits et laitage américain, au quatrième étage les plats asiatiques et au dernier un petit capharnaüm inclassable. Petit détail amusant sur la jeune Sullivan, est que même si elle est capable de se faire des plats exceptionnellement riches et diverses, elle est aussi capable de se poser devant sa télé, et de se nourrir de cornichons, ou de pain dans de la moutarde, ceci lui faisant un repas. Alors que le jour d’après elle peut avaler l’équivalent d’une ration pour un régiment.

• Contenu de son armoire à pharmacie : Bien qu’elle soit une pratiquante assidue de la religion de son pays natale, Rachael sait faire la part des choses et ne croit pas au prières pour se soigner d’une quelconque maladie. Son côté scientifique fait alors surface et adore jouer les petits chimistes pour se concocter des mélanges à bases de vrais médicaments et de plantes népalaises. Dans son armoire donc, on trouvera le minimum syndical pour tout citoyen lambda pour se soigner : aspirine, bande, compresse, pommade, collyre, et autres petits comprimés anti-douleurs de toutes les couleurs ressemblant étrangement à des smarties. Ajouté donc à ça, il n’est pas rare qu’elle mélange des pommades avec des baumes comme le baume du Tigre, spécialité chauffante orientale, qui sert même très souvent à faire passer ses migraines quand elle s’en met sur le front.


GOÛTS :

• Couleur préférée : Les couleurs pastels principalement, très claire, qui s’harmonise pour donner quelque chose de zen : le blanc, le beige, le bleu, le pourpre, le doré, etc…
• Plat préféré :Bien qu’elle est devenue une adepte des nourriture les plus grasses et typiquement américaine, son plat préférée est le Dal Bhat – un plat népalais- .
• Chanson préférée : Les chants traditionnels du Népal en général.
• Livre préféré : Les Livres de Narnia de C.S.Lewis, les livres anglais qui lui ont appris la langue lorsqu’elle vivait à Katmandou.
• Film préféré : Sept Ans au Tibet, avec Brad Pitt de Jean-Jacques Annaud

AUTRES :

• Petite fée du logis, Rachael est une maniaque de la propreté et de la symétrie parfaite. Il faut absolument que tout soit toujours extrêmement parallèle et perpendiculaire, le tout dans sans aucune poussière. Elle croit aussi en la zenitude de l’espace vital et organise donc son appartement en conséquence.
• Elle est totalement bilingue Népalais et français, et tente de parfaire son anglais, qu’elle a beaucoup de mal à bien maîtriser, et utilise souvent des phrases très bizarre, qui ne veulent pas forcément dire quelque chose, ce qui fait, bien entendu, rire ses interlocuteurs.
• La demoiselle a une sainte horreur des transports en commun et est souvent malade dans ces derniers.
• La jeune Sullivan en souvent sujette à des migraines assez violentes.
• Elle joue de la guitare comme personne et a une certaine affection pour certains morceaux rock américain, mais aussi Mozart.
• Elle adore acheter des magasines sur tout et rien, pour enrichir son vocabulaire, mais pas seulement : il lui arrive de découper des photos et de les coller dans son petit carnet, ajoutant des commentaires à côté.
• C’est une écologiste très engagée, et n’hésite pas à venir frapper chez ses voisins pour les disputer d’avoir vu leurs ordures en bas non triées.
• Elle a fais pas loin de dix ans de wing-chun. Littéralement : le « printemps éternel ». Le wing-chun était la plus rapide, la plus efficace des écoles de boxe shaolin. Une technique qui privilégiait le combat rapproché, et qui, disait-on, avait été initiée par une nonne bouddhiste. Aujourd’hui Rachael excelle dans cette discipline et a même gagné près de quatre trophées dans sa catégorie.

• Avatar : Zooey Deschanel

• Précisez si vous êtes un joueur fille ou garçon : Une Api ?!
• Comment avez vous connu le forum ? Je campe ici

Bienvenue Rachael
Je réserve le vava.
Bonne continuation pour ta fiche ^^

(Re?) Bienvenue à toi
J'aime bien le personnage, enfin du moins son début. Et l'étude en "éthologie" Première fois que je vois ce mot tiens x)
Bonne continuation pour ta fiche ^^

Oui oui c'est encore moi
Hey ouais je fais dans l'original mais je rassure ça existe
Merciiii

J'en doute pas

Welcome

POMME DE REINETTE ET POMME D'API, je vous souhaite la bienvenue, A VOUS !

BRIDIE BRIDELIGHT JE VOUS REMERCIE

Et Corpsie n'auchi

Welcome Api.

Welcome ^^

Merci merci merci La suite arrive


APPARENCE :

• Allure générale : Il est indispensable de s’attarder sur le fait même que la jeune Rachael est une demoiselle pourvu de tous les charmes naturels nécessaire à son épanouissement. Jouissant de ce charme que l’on pourrait qualifier de ‘poupée’, la demoiselle a hérité de tous les traits gracieux et délicats de sa mère. Lorsqu’elle n’était qu’une enfant les moines des temples hindouistes la surnommaient, en raison de cette frêle beauté aux attraits délicats, Petit Flocon. En effet, bien qu’elle passait le plus clair de son temps dehors avec les gens de son âge, la jeune Sullivan ne prenait aucune couleur et restait aussi blanche que la neige, arborant ce teint laiteux qu’elle possède encore aujourd’hui. Son alimentation exclusivement constituée de vitamines naturelles, et son addiction a nettoyé sa peau dans les sources des montagnes, Rachael a donc la chance de ne pas avoir été sujette aux imperfections de la peau et aux apparitions disgracieuses en tout genre, comme peuvent l’être les occidentales. En apparence, on peut se fourvoyer sur le simple fait qu’elle a un petit problème qui l’a toujours handicapé à chaque étape de sa vie. Cet handicap est simple : sa taille. Ne dépassant pas le mètre soixante-cinq, Rachael a souvent été au devant de difficultés en rapport à sa taille et à son manque évident de force. C’est aussi pour cela qu’elle s’adonna plus tard au Wing-Chun, qui, gardant sa taille et sa taille fine, mais augmenta en revanche sa force et sa souplesse. Mais il est aussi indéniable de noter que son physique atypique passe surtout et avant tout par le visage de la demoiselle. Pourvu de longs cheveux bruns en cadrant strictement son visage, signant son front d’une mèche carré, il n’est pas rare que Rachael se plait à changer de tenue de ses cheveux. Ainsi, vous pourrez noter les changements d’humeurs par justement ces changements. Lorsqu’elle travaille par exemple, ses cheveux seront attachés en une haute queue de cheval et il en va de même lorsqu’elle réfléchit, se prépare à une activité zen ou violente comme la cuisine ou le wing chun (oui, c’est tout à fait comparable, du moins pour la jeune Sullivan). Le reste du temps, c’est lâché en cascade sur ses frêles épaules. La particularité de ses cheveux résident néanmoins leur couleur chatoyante et rarissime. Noir ébène aux reflets violacés, elle met à point d’honneur à les entretenir avec beaucoup de rigueur. Mais ces cheveux ne seraient pas aussi exceptionnellement ressortis si la jolie petite Rachael n’avait pas ce visage si unique. Des traits extrêmement fins, d’une régularité surprenante, un nez effilé, des petites lèvres rosées naturellement, mais la chose la plus surprenante ce trouve au fond de ces yeux. La clarté et la pureté du bleu qui les constitue captive autant qu’il effraie. Presque transparent, c’est pourtant avec ses deux petits ovales que toutes les émotions de Rachael passe. En revanche, elle doit très souvent porter des lunettes de vue, à cause justement de la fragilité de ces yeux. Devant son ordinateur, ou quand elle lit, elle est obligée d’en porter et les lunettes de soleil sont très souvent de rigueur pour les sorties ensoleillées.

• Style vestimentaire : Que dire à part que Rachael a toujours eu beaucoup de chance pour s’habiller. A vrai dire, on peut tout simplement dire qu’un rien ne l’habille, et d’ailleurs la jeune fille en profite. Son goût prononcé pour les vêtements aux coutures larges et aux couleurs pastel, son ceux qu’elle affectionne tout particulièrement. Mais son choix ne se porte pas uniquement sur les vêtements de grandes marques, pour la simple et bonne raison qu’elle n’a pas les moyens. Un mal pour un bien, me direz vous, car la jeune Sullivan dévalise le plus souvent les friperies en tout genre ayant toujours une chance incroyable pour dégôter des tissus et des vêtements rares et qu’elle est sûre de ne pas retrouver sur tout le monde. Particulièrement adepte de jean, elle en a pas moins d’une vingtaine, se déclinant tous dans des coloris plus ou moins clairs. Pour ce qui est du haut, Rachael aime mélanger les genres et les couleurs, et peu alors avec une tenue se parfaire de style tout à fait différent. Rock, bobo, romantique, les genres varient selon ses humeurs. En chaussures, Rachael est alors des plus casse pieds. Elle a toujours eu un mal fou à se chausser, préférant toujours rester pied nus ou en petites ballerines. Mais depuis peu, elle s’est forcée à s’offrir des chaussures diverses, comme des bottes, ou des escarpins, s’obligeant à porter des talons, qu’elle commence d’ailleurs à apprécier de plus en plus, l’avantageant alors sur sa taille. Elle aussi très friande des petits accessoires, si unique, qui feront que son style sera alors tout changé : un bonnet, des gants, une écharpe, bracelet, boucle d’oreille, ou vernis à ongle assortis, elle adore se sentir le précurseur d’un nouveau style original en mélangeant les styles ou arborant de nouveaux gris-gris qu’elle collectionne lorsqu’elle voyage pour les besoins de ses recherches. Bijoux et étoles africains ou asiatiques restent ses pièces maîtresses d’un style unique qui fait mouche.

HISTOIRE :


• Parents : Il était difficile pour Georgia de dire avec exactitude depuis combien de temps elle se trouvait à Katmandou. Ici, vous perdez tout : vos doutes, vos espoirs, vos envies, vos peurs, la notion du temps. Elle savait que de l’autre côté de ces hautes montagnes enneigées, se trouvait les Etats-Unis, son cher pays, qu’elle avait quitté, faisant tous ces kilomètres pour mettre à contribution son savoir et sa patience au service de la santé des Népalais les plus démunis, qui étaient comme sa deuxième famille, puisqu’elle était elle-même fille de Népalais. La jeune femme avait aussi secrètement espéré qu’elle pourrait commencer à entamer une procédure d’adoption pour emmener chez elle un enfant. Elle en avait envie. Elle avait eu trente ans, il y a de ça presque cinq mois, et elle s’était sentie prête à avoir un enfant. Mais sa phobie même de la nature perverse de l’homme et du contact charnel de deux êtres l’avait amené à conclure que la seule possibilité pour elle de materner était l’adoption.
Son voyage s’était éternisé. Les conditions météos avaient été handicapante pour effectuer une ascendance pour rejoindre un village dans les hauteurs. Après des jours de marches, Georgia était usée par la faim et la fatigue. Gagnant le temps hindouiste qui les hébergerait, elle et son équipe médicale, elle fit ainsi la rencontre de Paul, un journaliste américano-français, qui avait été engagé par une organisation à but non lucrative pour faire un reportage sur la misère Népalaise. Le temps que passèrent alors Georgia et Paul sembla à son tour ne plus compter, leurs conversations basées sur des sujets diverses et variées, les passionnant et les captivant tous les deux. Petit à petit, Georgia s’ouvrit à lui, et ce dernier commença alors à éprouver plus que de simples sentiments d’amitié à son égard. Alors qu’il voulut, avant de la quitter, connaître, savoir, comprendre, il l’embrassa. Georgia, n’échappant pas à sa phobie maladive, le repoussa. Mais c’était mal connaître Paul que de croire qu’il rentrerait alors en France. Il resta, renvoya son équipe, mais lui, ne quitta pas Katmandou. Restant alors, il réussit, petit à petit, à aider Georgia, a affronté sa peur, et ainsi, la libérant de sa phobie, cette dernière comprit qu’elle l’aimait à son tour.

Un mois plus tard, alors que l’expédition prit fin, Georgia découvrit qu’elle était enceinte. Alors confia alors à Paul, qu’elle préférait que son enfant soit élevé ici, loin des mœurs des américains, qu’il est une vie saine, équilibré et baigné dans un environnement religieux et zen. Paul accepta. Cependant, il était journaliste, et son besoin naturel de voyager, se déplacer, aller au devant des gens était la plus forte et il quitta souvent le refuge familiale pour aller écrire quelques sujets dans les pays avoisinants, les envoyant ensuite à des journaux français qui lui achetait son article.
Les mois passèrent, et ce fût une petite fille qui naquit dans un hôpital de Katmandou. Rachael fut le plus beau des enfants, et Georgia perdit alors les dernières petites onces de sa phobie. Paul s’absenta de moins en moins, passant un temps considérable avec sa fille. L’éduquant alors avec vigueur, dans un univers très portée sur la religion et le respect de la nature, Rachael était une enfant calme et passionnée, consacrant la plus grande partie de son temps à bouquiner des livres en tous genre, et grimper sur un cailloux pour dessiner le paysage. Une enfance des plus ordinaires donc, mise à part bien sûr qu’elle soit élevée à l’autre bout du monde, Rachael fait partie de ces enfants grandissant avec l’amour prodiguer nécessaire à l’épanouissement le plus complet.

Fille unique, elle a cependant développé une sociabilité et une ouverture d’esprit hors du commun en passant le plus clair de son temps avec les enfants Népalais, et n’a jamais été la cible d’exclusion. La jeune Sullivan sait, bien qu’elle n’ait jamais entrée en contact avec eux, que son père possède de la famille aux Etats-Unis, ses parents et son frère qui a eu deux fils. Du côté maternel, elle a rencontré sa grand-mère qui vivait à Katmandou.

***

• Anecdote(s) de l'enfance : Installée sur le petit rebord de pierre, Rachael regarda un long moment l’horizon se dessiner sous ses yeux. Blottit dans le creux de la falaise, le village s’étendait sous ses pieds, le toit du temple perçant les nuages de la vallée avec son drapeau qui claquait au vent. Elle ne savait pas encore à cette époque que c’était la dernière fois qu’elle admirait le village qui l’avait vu grandir. Pour le moment, ce jour n’était un de plus dans sa vie de Népalaise, solitaire et si calme. Un bruissement de cailloux la fit sursauter, et elle pencha légèrement la tête : son père grimpait le long de la pente sinueuse pour tenter de rejoindre sa fille, en poussant des jurons à chaque fois que ses pieds glissaient sur les petits gravillons cendrés de la falaise. Il s’installa enfin à côté de sa jeune enfant, âgé depuis avant-hier de quatre années, recroquevillée, ses bras encerclant ses jambes qui soutenaient son menton. Il reprit sa respiration et passa une main affectueuse de ses cheveux couleur ébène.

- Tu sais que je viens de faire du sport pour trois mois juste pour te dire que ta mère t’appelle pour déjeuner ?

Rachael enfouit un peu plus son visage dans ses genoux et se mit à ricaner silencieusement. Son père se redressa un peu plus et dit en soupirant, l’air mélancolique.

- Je comprends pourquoi tu adores venir te nicher ici.

Un silence s’imposa alors entre eux, et le vent seul soufflant dans les cheveux du père et de la fille était le seul bruit qui rythmait l’atmosphère. Soudain, la petite Rachael brisa le silence :

- Dis papa…
- Quoi ?
- J’avais pensé que…Enfin…Est-ce qu’on va rester ici toute la vie ?
- Non. Lâcha son père si durement et rapidement que cela fit sursauter Rachael.
-Pou…Pourquoi ?
- Pour tes études Rachael, nous partirons bientôt.

Rachael se releva d’un coup, son père ayant pour premier réflexe de la retenir, croyant qu’elle allait chuter. Ses petits poings fermés le long de son corps raide par la colère, ses sourcils se froncèrent :

- J’veux pas partir parce que j’veux pas aller à l’école.
- Mais tu comptes faire quoi pour vivre ?
- Elever des yacks !

Paul ricana, et explosa enfin de rire, attirant sa fille dans ses bras. Il tapotant gentiment son dos, lui caressant ses cheveux.

- Tu ne peux pas élever des Yacks, tu es allergique.
- Ah oui j’avais oublié, marmonna Rachael dans l’épaule de son père.
- Crois moi tu vas aimer les Etats-Unis…De toute façon, on ne compte pas partir maintenant.

Rachael resta un long moment silencieuse, blottit dans les bras de son père, songeant alors à son avenir. Elle souffla et se demanda un long moment à quoi ressemblait les Etats- Du- Nid, dont parlait son père. Puis elle toussa et dit :

- … Papa ?
- Quoi ?
- Tu m’étouffes.

• Anecdote(s) de l'adolescence : Faisant les cent pas dans la sa chambre, s’emmêlant nerveusement les doigts, elle regarda un instant par la fenêtre la ville de Chicago qui s’éveillait. Rachael prit une profonde inspiration et attrapa le journal éparpillé sur le sol et se dirigea vers la porte, l’ouvrant à la volée. Elle entra en trombe dans la cuisine, et se figea, observant un instant son père qui buvait son café en feuilletant un magasine, assit sur la table de salle à manger, et sa mère qui faisait des tartines au bar de la cuisine. Elle prit une profonde inspiration et lança le journal sous les yeux de son père qui sursauta :

- C’est quoi ça ? dit-elle en montrant un article qu’elle avait entouré d’un coup de stylo rouge.
Son père ne prêta pas attention à elle, et avala un nouvelle rasade de café.
- Papa, réponds moi !

Ce dernier posa délicatement sa tasse sur la table, ferma calmement son magasine et relava son visage vers sa fille.

- C’est un article de journal chérie.
- Arrête de me prendre pour une imbécile ! Tu crois que ce n’est pas assez difficile comme ça pour moi de m’intégrer dans mon lycée, il faut qu’en plus mon père publie des articles débiles sur le surnaturel ?
- Rachael ! s’emporta soudain sa mère qui paraissait offusquer de l’insolence de sa fille. Comment parles tu à ton père ?

Un silence s’installa alors dans le salon, et Paul, se releva lentement, emporta sa tasse et son magasine sous son bras, et se dirigea vers la cuisine. Il posa sa tasse dans l’évier et s’avança près de sa femme, avant de répondre à son enfant :
- Si tu prêtais un peu plus attention à tout ce qui t’entoure et que tu repensais à ton enseignement religieux que les moines t’avaient enseignés, tu ne serais pas aussi fermée.
- Mais quel est le rapport avec l’hindouisme et tes sornettes sur des démons, des fantômes et autres fantaisies ?

Son père esquissa un sourire et s’avança vers elle, et posa une main chaleureuse sur son épaule et se pencha pour être à sa hauteur.

- Tu verras ma fille, quand tu seras en âge de comprendre, tu sauras.

Rachael secoua la tête en signe négatif, et souffla. Elle se dégagea de l’étreinte de son père et se retourna.

- De toute façon, je vais bientôt partir.

Un bruit sourd tinta dans son dos, et elle sut alors que sa mère venait de lâcher quelque chose devant elle sur la surprise.

- Qu’est ce que tu racontes mon cœur ?
- Je pars maman, dit elle ne pivotant sur elle-même, refaisant face à ses parents. Je pars à Salvation. Il y a des bibliothèques là bas, et je vais pouvoir commencer mes études d’éthologie par correspondance, comme je voulais le faire.

Georgia regarda son mari, ce dernier acquiesçant d’un signe de tête avant de dire :
- Nous avons toujours voulu ton bonheur et si ce dernier consiste à t’éloigner de nous pour tes études alors nous respectons ton choix.

Rachael esquissa un sourire, baissa la tête et prit violement son père dans ses bras. Elle ne le remercierait jamais pour cette disponibilité et cet amour qu’il avait pour elle. Elle aurait aimé lui prouver qu’elle aussi l’aimait aussi fort, et qu’il pourrait être fier d’elle.

- Merci papa.

***

• Anecdote(s) de la vie actuelle : Le thé venait de s’infuser dans sa tasse, et Rachael sortit le petit sachet d’herbes, plongeant alors deux sucres dans le breuvage, et touilla avec sa petite cuillère. Elle porta la tasse à ses lèvres. Brûlant. Elle renfrogna son nez, et se pinça les lèvres sous la brûlure. Elle revint alors dans son salon, où son réparateur se battait encore son pauvre ordinateur. Elle s’adossa alors dans l’embrassure de la porte et l’observa un long moment. Ca l’embêtait tout de même de devoir le déplacer pour une énième fois à une heure aussi tardive.

- Ca peut vous paraître égale, mais je suis vraiment désolée de vous avoir appelé à une heure si tardive… Demain j’ai une conférence sur les comportements du tigre blanc asiatique en chasse.

Relevant sa tête de l’ordinateur, la dévisageant d’un air suspicieux, le réparateur qui se faisait plus simplement appelé Logan Sanders, arqua un sourcil. Rachael sourit et hocha fermement de la tête.

- Nan mais sans rire…Je suis éthologue…
Ce dernier haussa les épaules et repartit dans l’exploration de son ordinateur.
- Vous n’avez rien fais qui puisse rendre votre ordinateur inapte ?demanda-t-il de nouveau sans lui accorder un regard.
- Ben…non.

Un silence s’installa, Rachael continuant d’observer le jeune homme. Il l’intriguait. Il dégageait quelque chose qui captivait la jeune demoiselle, qui avait l’impression que ce réparateur avait une chose en plus, une profondeur que les gens non pas d’habitude. Elle sursauta soudain.

- Ah si j’ai renversé du sirop d’érable dans le clavier !
Logan lâcha alors son tournevis, dépitée par la jeune demoiselle.
- La dernière fois vous aviez fais tomber une boucle d’oreille, la fois d’avant du yaourt, l’avant dernière fois du paprika et la dernière fois vous aviez branché votre sèche cheveux dans la prise MP3.
- Hey mais la dernière fois c’était parce que j’avais une coupure de courant et je me suis dis que la batterie de mon ordi aurait pu suffire à mon sèche cheveux !

Le réparateur leva les yeux au ciel en soufflant.
- J’ai pas le choix, il faut encore le changer.
- Mais…et ma présentation ?
- Mais elle est sur la carte mémoire, vous pourrez le récupérer !
- La quoi ?
- La carte mémoire, elle stocke toutes vos données enregistrées.
- Hein ? Enregistrées ?
- Attendez…ne me dites pas que vous n’enregistrez jamais rien !!
- Mais, je croyais qu’il le faisait tout seul !
- Je crois qu’il va falloir que je vous explique quelques trucs en informatique…

• Connaissance du surnaturel : Depuis qu’elle est enfant, Rachael a toujours reçu une éducation prônant le surnaturel de la vie. Mais en scientifique, elle a toujours trouvé les idées de créatures aux supers pouvoirs un peu tirés par les cheveux. Ce qui est tout à fait contradictoire avec son apprentissage de l’hindouisme et lui inculqua des histoires de ce type. Par la suite, son père et sa mère avaient toujours cru aussi en ces histoires fantastiques et c’est ce qui poussa petit à petit Rachael à s’ouvrir. Ainsi, il n’est pas rare aujourd’hui, comme son père autrefois, elle découpe des articles sur des morts suspicieuses et les collent dans son petit carnet, griffonnant des notes par la suite. Se forçant à sortir un peu plus dans la petite bourgade qu’est Salvation, elle se rendit petit à petit compte que ses parents et les hindouistes n’étaient pas les seuls à tenir des dires sur le surnaturel et que les vieux loubards qui ont roulé leurs bosses sont des mines d’or lorsque vous êtes assis près d’eux dans un bar et qu’ils ont devant eu un verre suffisamment rempli d’alcool. Malgré des suspicions grandissantes, Rachael ne s’est jamais retrouvée face à une sorcière, un fantôme, un démon, ou le Père Noël, ce qui commence légèrement à l’énerver, ayant la fâcheuse impression que ses recherches et ses croyances sont veines, et que son esprit scientifiques gagnent un peu plus du terrain sur sa raison.


*Et voilà enfin finis, désolée pour le retard

J'adore totalement la dernière annecdote

Mon pauvre Logan n'est pas prêt d'avoir les idées changées

J'adore les anecdotes

Samuel > Merci

Logan > T'en fais derrière ce petit bout de femme innocente, elle peut se montrer très persuasive
Sauf en informatique

Je ne vois rien à redire c'est parfait
Je valide.
Bon jeu ^^